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  • En réponse à ceux qui nous accusent d’être guidés par la peur !

    En réponse à ceux qui nous accusent d’être guidés par la peur ! Quand on combat l’islamisation de la France on ne peut pas se permettre d’avoir peur sinon on se tairait !!! Certes nous sommes conscients des risques, de la violence de nos opposants gauchistes et savons que les islamistes sont prêts à massacrer, à égorger, à bruler vif comme ils l'ont déjà fait récemment !

    Jeannette Bougrab dénonce en effet "des messages de haine dans l’indifférence sans que personne ne se lève pour les défendre", annonce que Charb se savait menacé…

    Malgré tout, elle insiste sur l’engagement de cet homme qui aura tout fait pour continuer à se moquer des religions, des sectes, des bien-pensants, de la politique sans plier sous le poids des menaces. « Est-ce que vous connaissez des gens qui sont capable de mourir pour leurs idées aujourd’hui ? Non ! » s’exclame-t-elle, en rage, constatant qu’en France, en 2015, il est possible de mourir pour des dessins.

    Elle a également voulu partager son dégoût face aux flux nauséabonds d’accusations en tout genre contre Charlie Hebdo sur les réseaux sociaux avant l’attaque. Les gens qui, profitant de l’anonymat d’Internet, ont fait passer ces démolisseurs de préjugés pour des islamophobes sont aussi à l’origine de la peur avec laquelle vivaient Charb et les autres. J

    eannette Bougrab voulait fuir cette insécurité permanente. Hier soir, pour la première fois, elle a avoué avoir désiré quitter la France, désir non partagé par Charb qui incarnait « l’esprit de Voltaire », le courage d’exprimer ses idées coûte que coûte.

    http://www.aufeminin.com/news-societe/charlie-hebdo-la-compagne-de-charb-s-exprime-s1187903.html

  • Trégastel/Fouesnant : Les « réfugiés syriens » sont en fait pakistanais, afghans, palestiniens, soudanais

    Trégastel/Fouesnant : Les « réfugiés syriens » sont en fait pakistanais, afghans, palestiniens, soudanais
    POSTED BY LA RÉDACTION ON 26TH OCTOBRE 2016
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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (26/10/2016) Après avoir sidéré l’opinion publique au sujet des « femmes et des enfants syriens fuyant la guerre », les médias d’état ont discrètement admis qu’il s’agit en réalité de faux réfugiés provenant de pays musulmans sans rapport avec le conflit syrien.

    Le journal socialiste Ouest-France (source),  évoquant l’arrivée des clandestins à Trégastel (Côtes d’Armor), écrit :

    « Nous savions depuis longtemps, que nous aurions à héberger à nouveau des migrants,confirme Roger Le Goff, maire de Fouesnant. Le même dispositif est reconduit. Les migrants sont hébergés au Renouveau, la prise en charge du quotidien revient à la fondation Massé-Trévidy, la mairie de Fouesnant apporte un peu de soutien logistique.» Les migrants originaires du Soudan, d’Érythrée, de Somalie, d’Éthiopie, d’Afghanistan et de Palestine ont été pris en charge par la Croix Rouge, avant de se voir désigner un hébergement.

    Le journal pro-gouvernemental Le Télégramme ne dit pas autre chose (source) :

    Même scénario que pour Trébeurden, ce lundi. Après une dizaine d’heures de car, les migrants ont rallié l’autre Centre d’accueil et d’orientation (CAO) du Trégor, à Trégastel (22).

    Le contingent, principalement composé, cette fois, d’Afghans et de Pakistanais (21) et de neuf Soudanais a pris ses quartiers dans une quinzaine de bungalows de la Caisse centrale d’activité

    Depuis le début il s’agit, pour les médias d’état, de mener une guerre psychologique contre les populations. Le torrent de propagande vise à les faire capituler face à leur expulsion progressive de leurs terres ancestrales par le tiers-monde musulman.

     
    Cette opération médiatique relève du viol pur et simple. Notons encore le rôle des collaborateurs :
    Ils ont été accueillis par la sous-préfète de Lannion, Christine Royer, le maire de la commune, Paul Droniou, et des bénévoles de la Croix Rouge de Perros-Guirec.
    Quel Breton a jamais été accueilli par ces politiciens à leur retour chez eux ? Cette servilité et cette obséquiosité sont tout simplement insoutenables.