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  • Aux Maires de Trégastel et Trébeurden

     

    Aux Maires de Trégastel et Trébeurden

    Comment se fait-il que les clandestins soient laissés seuls sans supervision à Trébeurden ? Une bénévole est passée aujourd’hui pour y déposer des dons et n’a vu aucun responsable. La seule personne présente dans le centre était un membre du Collectif des Gens Heureux.

    N’avez-vous pas clamé partout dans la presse que ces clandestins seraient constamment accompagnés par une personne de l’association Coallia et/ou un garde ?

    Cela fait deux jours que ces pauvres gars sont arrivés et ils sont déjà abandonnés. Ce n’est que le début du laxisme et les pépins vont arriver. Les maires, leurs équipes, élus de tout bord, associations et médias nous doivent une explication et seront tenus responsables en cas d'accident.

    D'autre part, certains s’inquiètent de la pérennisation du séjour des "réfugiés" (on ne dit plus migrants) dans nos communes et envisagent leur installation définitive; en passant par dessus la loi. Je signale que les institutions de l'Union Européenne ont des solutions de micro-finance toutes prêtes à leur intention.

  • Non !

    Non, il n’est pas possible pour des chrétiens de limiter les fondements de leur position sur l’immigration à ces deux seuls textes bibliques : « cet émigré installé chez vous, vous le traiterez comme l’un de vous » et : « J’étais un étranger et vous m’avez accueilli. »

    D'ailleurs, il s’agit dans ces textes de « cet immigré » et d’« un étranger », c’est-à-dire deux individus déterminés, et non pas d’une masse de personnes provenant de quinze pays différents, aux motivations diverses, sans que l’on sache de chacun la raison particulière de sa migration : véritable persécution ouvrant droit au statut de réfugié, fuite devant la difficulté à faire son devoir dans un pays en guerre, attirance pour un pays développé, désir de tenter l’aventure…

    Avons-nous perdu le contact avec le réel ? Nous croyons-nous capables d’assurer un avenir à toutes ces personnes, avec nos 5 millions de chômeurs, nos 2 200 milliards de dettes, nos usines qui ferment, nos agriculteurs qui n’ont plus de quoi vivre, l’explosion de la violence, nos départements asphyxiés par les demandes sociales, notre enseignement à la dérive, nos difficultés à intégrer les familles issues de l’immigration africaine qui représentent au moins 20 % de la population ?

    N’avons-nous pas compris qu’en ouvrant ainsi la porte il ne s’agira bientôt plus de loger quelques milliers de migrants autour de Paris et en province, mais des centaines de milliers, voire des millions? 
     
    L’Évangile ne nous oblige pas seulement à des bons sentiments mais aussi au réalisme. Ainsi le cardinal Etchegaray, alors président de la commission Justice et Paix, déclarait avec justesse en février 1989 : « Il appartient aux pouvoirs publics, qui ont la charge du bien commun, de déterminer la proportion de réfugiés ou d’immigrés que leur pays peut accueillir. »

    Il y a aussi, soulignés par le Magistère, les devoirs de l’immigré vis-à-vis de son pays d’accueil. Le Catéchisme de l’Église catholique affirme dans son paragraphe 2241 : « Les autorités publiques peuvent en vue du bien commun subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption ; l’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil... » Et le pape Jean-Paul II à Paris en 1980 : « Ayez soin du pays dans lequel je vous ai conduits, priez pour lui votre Dieu. » Même si nous nous savons très imparfaits, nous sommes profondément choqués par les malédictions souvent entendues contre notre pays, les revendications scandaleuses de certains immigrés entendues en Italie concernant la nourriture et le logement, le harcèlement des femmes par des immigrés dans les villes allemandes.

    Enfin, nous sommes conscients des périls majeurs que l’Islam, religion de la très grande majorité des migrants, fait courir à notre pays et à toute la civilisation occidentale. Même si elle a tardé à s’installer, la conviction est maintenant largement répandue que l’Islam ne peut se comporter comme une composante d’un ensemble multiculturel et a pour principe moteur de s’imposer par la force à l’ensemble de la société. Dans une interview récente au quotidien italien Il giornale, le cardinal Burke affirme : « J’ai entendu plusieurs fois des islamistes qui expliquaient : ce que nous n’avons pas réussi à faire avec les armes dans le passé nous sommes en train de le faire avec la natalité et l’immigration. La population est en train de changer. Si on continue ainsi, dans des pays comme l’Italie, la majorité sera musulmane. » 

    Le cardinal donne comme explication à ce phénomène notre acceptation de pratiques contraires à la loi naturelle et notre faiblesse dans la foi. C’est ce que nous croyons nous aussi ; c’est pourquoi nous appelons à un sursaut.

     

  • Allemagne : Les Crimes Sexuels des Migrants se Poursuivent sur Fond d'Opinion Publique Anesthésiée

    28 octobre 2016

    • En dépit de la hausse de la criminalité, la plupart des crimes et délits sont minimisés, tant par les autorités allemandes que par les médias, sans doute pour ne pas alimenter le ressentiment général envers les immigrés.

    • « Le Conseil de la presse allemande estime que chaque rédaction doit traiter ses lecteurs comme des enfants, en confisquant l'information utile. Ce comportement est d'autant plus erroné que les lecteurs comprennent qu'une stratégie de dissimulation est à l'œuvre. Ils perdent confiance. Et cette méfiance est une catastrophe ». — Tanit Koch, rédacteur en chef de Bild, journal le plus vendu en Allemagne.

    • Le 24 octobre, un sondage Yougov a révélé que 68% des Allemands pensent que la sécurité du pays s'est détériorée au cours des deux ou trois dernières années. De plus, 68% des personnes interrogées, a affirmé craindre pour sa vie et ses biens dans les trains et les métros, et 63% disent se sentir en insécurité dans les grands rassemblements publics.

    • Un nombre croissant de femmes et de jeunes filles hébergées dans des abris pour réfugiés en Allemagne sont violées, agressées sexuellement et même forcées à se prostituer par les demandeurs d’asile de sexe masculin, selon les organisations des travailleurs sociaux allemands ayant une connaissance de première main de la situation.

      Beaucoup de viols se produisent dans des hébergements mixtes, où, en raison du manque d’espace, les autorités allemandes forcent des milliers de migrants, hommes et de femmes, à partager les mêmes zones de couchage et les toilettes.

      Ces conditions de vie dans ces centres d’hébergements sont si dangereuses pour les femmes et les jeunes filles qu’elles sont décrites par les prédateurs mâles musulmans comme étant du « gibier sauvage » à disposition. Mais de nombreuses victimes, craignant des représailles, gardent le silence, disent les travailleurs sociaux.

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      (Mère Angela titre Der Spiegel en référence à mère Thérésa)

      Dans le même temps, un nombre croissant de femmes allemandes dans les villes à travers le pays sont violées par les demandeurs d’asile en provenance d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient. Beaucoup de crimes sont minimisé par les autorités allemandes et les médias nationaux, apparemment pour éviter d’alimenter des sentiments anti-immigration.