Communiqué de presse : soutien à François Fillon
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« La sous-déclaration est en général expliquée par la désirabilité sociale. Ainsi, le vote communiste a été caché dans les années 1950, comme le vote Front national dans les années 1990. On croyait avoir atténué la sous-déclaration avec les sondages effectués par Internet, les sondés n’étant plus face à un enquêteur. Mais apparemment ce n’est pas le cas », explique Daniel Boy. Ce phénomène a aussi été observé aux Etats-Unis au sein de l’électorat de Donald Trump.
« Même les sondages sortis des urnes sont nettement éloignés du résultat », s’étonne le chercheur. Ce qui signifie que tous les électeurs ayant voté à la primaire de la droite n’ont pas accepté de dire pour qui ils avaient voté au sortir de l’isoloir. « On n’a pas encore trouvé le système pour bien évaluer la primaire », reconnaît le politologue et spécialiste des sondages et enquêtes d’opinion.
La prudence s’impose donc face aux chiffres des sondages, en attendant le second tour de la primaire, dimanche 27 novembre. Même s’il « est plus facile d’évaluer deux candidats que sept », nuance Daniel Boy.
Contrairement aux affirmations mensongères des élus locaux, dans les années à venir les contribuables verront leurs impôts locaux exploser pour financer le RSA et autres allocations des migrants devenus résidents de nos communes.