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  • L’intégration des immigrés est impossible

    Chronique de Paysan Savoyard
    Olivier Palavas
     
    La vidéo du discours d’Olivier Roudier
    lors du meeting de Palavas
     
     
     
            A ceux qui s’inquiétaient des conséquences de l’immigration, les immigrationnistes ont répondu pendant des années que les difficultés d’intégration concernaient surtout « les immigrés de la deuxième génération », venus en France dans le cadre du regroupement familial. Les choses se règleraient d’elles-mêmes, nous disait-on alors, avec les générations suivantes, qui elles allaient naître en France.
     
            C’est le contraire qui s’est produit : les immigrés de la troisième et maintenant de la quatrième génération, nés en France pourtant et y ayant toujours vécu, posent des problèmes d’intégration plus graves que leurs ascendants et qui ne cessent de s’alourdir.
     
            Nous voulons nous adresser à toutes ces personnes naïves et « de bonne volonté » qui ne comprennent pas pourquoi l’intégration est aussi difficile et qui se demandent ce que nous devrions faire pour qu’elle se produise enfin. Nous voulons leur dire la chose suivante : il n’y a rien à faire. L’intégration ne se fait pas et elle ne se fera pas. Parce qu’elle est impossible.
     
    Les immigrés ne s’intègrent pas
     
            De multiples signes, tous convergents, montrent que les immigrés ne sont nullement en voie d’intégration. La délinquance, attribuable pour l’essentiel à l’immigration, reste à un niveau élevé. L’islam et le communautarisme musulman sont chaque jour plus présents dans la société française, accompagnés d’une augmentation continue des revendications communautaristes. Les attentats islamistes croissent en nombre et en gravité. Le rap occupe une place dominante dans la culture des quartiers : il y diffuse des textes et des images agressifs et haineux à l’égard de la société française et de la population de souche. De nombreux quartiers ont fait sécession et vivent depuis des décennies hors-la-loi ou plus exactement selon la loi fixée par les caïds et les islamistes.
     
            De façon générale il apparaît que non seulement la majorité des immigrés ne se vivent pas comme Français, mais ils sont emplis de ressentiment, d’agressivité, sinon de haine, à l’égard de la France et des Français de souche européenne.
     
            Ce sombre tableau a conduit les immigrationnistes à réviser leur discours à plusieurs reprises. Après avoir invoqué « l’assimilation » souhaitable des immigrés, ils se sont rabattus sur « l’intégration » : on attendait des immigrés qu’ils s’intègrent c’est-à-dire qu’ils puissent conserver une partie de leur culture et de leurs coutumes mais qu’ils rejettent le communautarisme et adoptent à titre individuel les valeurs essentielles de la république, comme la laïcité. L’intégration s’étant révélée elle aussi un échec, l’oligarchie a adopté depuis une quinzaine d’années le concept du « vivre ensemble » : il s’agit de faire en sorte que les différentes communautés puissent coexister, en espérant que cette cohabitation reste pacifique.
     
    La société française a pourtant consenti de considérables efforts
     
            Pourtant la société française a consenti d’importants efforts en faveur des immigrés. Elle en accueille chaque année un grand nombre. Ceux qui sont entrés de façon irrégulière ne sont pas expulsés mais au contraire régularisés au bout d’un certain temps. La nationalité française est accordée chaque année à un grand nombre d’immigrés (automatiquement dès la naissance, ou à 18 ans, ou sur demande, selon les cas).
     
            Les immigrés bénéficient des mêmes droits que les Français (droits du travail, droit d’accès aux services publics et aux aides sociales). Etant le plus souvent dans une situation sociale moins favorable que les Français, ils reçoivent en pratique davantage d’aides que la moyenne des Français. Les immigrés en situation irrégulière eux-mêmes bénéficient de droits sociaux.
     
            Les quartiers où habitent les immigrés sont destinataires en outre d’importantes dépenses publiques (politique de la ville ; ZEP ; mécanismes de discrimination positive à l’embauche ou à l’entrée dans certaines grandes écoles).
     
            Les immigrés, enfin, sont autorisés à pratiquer leur religion et à conserver une partie de leurs coutumes : ils reçoivent même une aide des pouvoirs publics pour construire des mosquées.
     
            Même si les immigrés et les immigrationnistes militants considèrent qu’ils sont encore insuffisants, il n’est pas niable que ces efforts sont considérables. Ils constituent d’ailleurs l’une des sources principales (avec le chômage) de l’augmentation continue des impôts, des taxes, des déficits et de la dette publique.
     
            Et en dépit de ces efforts indéniables, l’intégration des immigrés ne se réalise pas.
     
    L’intégration est impossible parce que les immigrés n’en veulent pas
     
            La raison en est simple : il n’y a pas et il n’y aura pas d’intégration parce que les immigrés n’en veulent pas. Au contraire. De nombreux immigrés ont du ressentiment à notre égard. Une partie non négligeable même nous hait. Il y a sans doute de braves gens parmi les immigrés. Mais même ceux-là partagent, au moins en partie, les discours des leaders islamistes ou communautaristes.
     
            Il y a quatre raisons convergentes à cette haine et ce ressentiment qui dominent chez les immigrés, s’agissant du moins des immigrés venus d’Afrique et du monde musulman.
     
            Les immigrés en France et en Europe, première raison, se trouvent le plus souvent dans une situation d’infériorité symbolique. Ils occupent des emplois peu valorisants. Ils vivent fréquemment dans des quartiers périphériques. Ils sont pour la plupart moins riches que la moyenne des Français. Beaucoup rencontrent des difficultés sociales. Ils sont souvent en échec scolaire. Cette position inférieure est une conséquence inévitable de la condition même de l’immigré, par définition moins favorable que celle des autochtones. Elle provoque chez eux frustration, colère, ressentiment.
     
            La deuxième source du ressentiment irréductible des immigrés à notre égard tient à l’Histoire. L’Afrique du Nord et le Proche Orient, d’où sont issus beaucoup d’immigrés, ont depuis toujours été en conflit avec l’Occident (conquête arabe, croisades, colonisation, guerres de décolonisation). Depuis des siècles en outre, les Africains et les Arabes sont dominés par les Blancs : domination physique et géopolitique (esclavage, colonisation), domination culturelle, technique, scientifique. Ce passé de conflit et de domination fait écho à la position d’infériorité que les immigrés rencontrent aujourd’hui dans les pays d’accueil. Elle accroît encore leur ressentiment.
     
            Troisième source du ressentiment et de la haine : la plupart des immigrés sont musulmans. Or l’islam présente plusieurs caractéristiques qui rendent impossible l’intégration des immigrés en Europe. C’est une culture qui rejette plusieurs aspects importants auxquels tiennent aujourd’hui les Européens (laïcité, statut de la femme). C’est une culture fondée sur un texte sacré dans lequel la dimension violente et guerrière est fortement présente. C’est une culture, enfin, qui est en guerre avec l’Occident chrétien depuis son origine (7ème siècle).
     
            Il est une dernière raison, peut-être la plus puissante. Les immigrés Africains et orientaux ont tous bien conscience de ce qui est en train de se passer. Ils savent qu’ils sont en train d’envahir l’Europe. Ils savent que la couche supérieure des sociétés européennes (les dirigeants des entreprises, les politiciens, les journalistes, les militants (les antiracistes, les humanitaires, les chrétiens…) approuve l’arrivée massive des immigrés ou, en tout cas, refuse de s’y opposer. Ils savent que tous les Européens ou presque sont amollis et faibles et ne sont pas prêts à s’opposer mentalement et physiquement à l’invasion et à la domination des immigrés. Le ressentiment des immigrés s’accompagne dès lors d’un sentiment de puissance : ils savent qu’ils tiennent enfin leur revanche et qu’ils vont pouvoir laver les humiliations subies depuis des siècles.
     
            Dès lors la question n’est pas d’augmenter nos efforts. Tout effort supplémentaire de la société française en faveur des immigrés ne sera pas ressenti par eux comme un signe de bonne volonté mais comme une preuve de notre faiblesse et de notre naïveté. Aucun geste supplémentaire de notre part en faveur de l’intégration et du vivre-ensemble ne pourra susciter chez les immigrés un sentiment de reconnaissance : il ne fera qu’augmenter leur mépris.
     
     
            Que les naïfs, les doux et les généreux acceptent enfin de regarder la réalité en face. Que les bienveillants, les tolérants et les pacifiques abandonnent, avant qu’il ne soit trop tard, leurs illusions moralement confortables. Que les militants du vivre ensemble sortent de leur état d’aveuglement volontaire. Il n’y a aucune chance que les immigrés s’assimilent. Il n’y a aucune chance pour qu’ils s’intègrent (voir également cette chronique).
     
            Il n’y aucune chance même que la coexistence puisse rester pacifique. Tous les pays musulmans ou presque sont en guerre avec d’autres. Tous les pays où existe une importante communauté musulmane sont en guerre civile ou en prennent le chemin. Tous les pays multiculturels et multiraciaux sont en guerre civile, en tension grave ou en conflit latent.
     
            La question n’est plus de savoir comment intégrer au mieux les immigrés. Pour les Français comme pour tous les Européens, l’enjeu désormais est d’une autre nature et se résume simplement. Soit la majorité des immigrés s’en vont et nous pourrons alors rester maîtres chez nous, continuer à y vivre paisiblement et préserver notre civilisation. Dans le cas contraire nous serons rapidement marginalisés en tant que peuple et nous disparaîtrons en tant que civilisation. Sera venu alors le temps de la Soumission.
     
     
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