Où sont leur femmes, mères, sœurs, enfants ?
Lors de récentes conférences de presse les autorités ont confirmé que les migrants envoyés dans les centres d’accueil du Trégor seront exclusivement des hommes majoritairement en provenance du Soudan, d’Erythrée et d’Afghanistan.
Je me pose la question suivante : où sont leur femmes, mères, sœurs, enfants ?
Car de deux choses l’une : ou ce sont des réfugiés ayant fui la guerre et des régions sur l’emprise de groupe terroristes : dans ce cas comment ont-ils pu fuir en abandonnant des femmes vulnérables, surtout quand on sait comment les islamistes les traitent. Pourquoi ont-ils fui comme des lâches plutôt que de rejoindre les forces qui luttent contre les groupes islamistes ?
Ou alors ce sont des migrants économiques : comment dans ce cas les autorités peuvent-elles leur proposer de faire des demandes d’asile ? La loi est claire : l’asile ne peut être accordé qu’à ceux qui fuient des persécutions mettant en jeu leur intégrité physique, leur liberté ou leur vie. Le droit d’asile ne s’applique pas aux migrants économiques.
Alors que le pays compte plus de 5 millions de chômeurs, comment peut-on envisager de faire des régularisations massives de migrants dont les capacités d’intégration à notre société peuvent être mises en question ?
Les déficits de l’état et des organismes de protection sociales sont considérables. Les tensions entre musulmans et non musulmans sont de plus en plus exacerbées. Les forces de l’ordre ont de plus en plus de mal à faire face aux criminels, les terribles évènements de Viry-Châtillon en sont le dernier exemple.
Ignorant l’intérêt national, nos dirigeants laissent grandes ouvertes les portes de la France à une immigration économique qui ajoutera au considérables difficultés auxquelles doit faire face notre pays.