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  • Immigration à Calais : retour à la case départ

    Les migrants sont de retour à Calais, malgré tous les généreux efforts financiers du gouvernement pour les maintenir dans des CAO en France. Après le démantèlement de la jungle et leur placement dans des centres d’accueil et d’orientation, les clandestins font le chemin inverse et tentent une nouvelle fois de gagner l’Angleterre.

     2 mois après l’évacuation de la jungle, les clandestins ré investissent le camp petit à petit. Plusieurs centaines d’entre eux sont ainsi revenus – et notamment plusieurs en provenance des CAO de Bretagne – toujours animées du même espoir : Rejoindre l’Angleterre

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  • Décidément, l’immigration a ses limites !

    Angela Merkel – « Mutti », pour les intimes -, la bonne mère d’outre-Rhin, aurait-elle un problème avec sa progéniture ?

    Confrontée à une courbe démographique en piteux déclin, ne faisant plus assez d’enfants, l’Allemagne a décidé, depuis longtemps déjà, d’adopter ceux des autres ou (ce qui revient au même) d’importer une main-d’œuvre censée être immédiatement opérationnelle. Mais ce choix que d’autres pays européens ont aussi fait, par facilité, par idéalisme et toujours par renoncement, se retourne parfois contre ses auteurs.

    La chaîne d’information en continu LCI nous apprenait, le 9 décembre, que de nombreux migrants, accueillis avec tous les égards dus à leur situation, rechignaient à partager le bonheur germanique et repartaient, là d’où ils venaient. En gros, ils sont venus, ils ont vu et cela ne leur a pas plu. Quel affront pour cette Allemagne qui s’était posée en modèle de pays d’accueil, donnant leçons et conseils aux autres nations européennes !

    Quel affront pour la chancelière qui, au grand dam de son ministre de l’Intérieur, avait décidé de gérer elle-même le dossier des migrants ! Quel désaveu pour une chancelière qui vient d’être reconduite à la tête de la CDU… certes avec 80 % des votes, ce qui est très en deçà de ses scores antérieurs ; et sans adversaire, de surcroît.

     Sur les 900.000 migrants que l’Allemagne a reçus depuis 2015, ils sont quelques milliers seulement à être repartis. Mais le mouvement, selon notre confrère, s’amplifie et, semaine après semaine, les migrants découragés par les lourdes procédures d’accueil, les déçus d’un pays qu’ils « voyaient autrement », les rebutés par l’apprentissage d’une langue compliquée grossissent la liste des candidats au retour. Le rêve des uns et des autres se casse sur la réalité.

    Le paradis espéré est devenu un enfer normatif.

    La nationalité des migrants souhaitant revenir au pays, principalement des Irakiens et des Afghans, est également significative d’un autre malaise : celui de l’impossible assimilation.

    La greffe ne prend pas, ne prendra jamais avec certaines populations.

    Il n’est pas étonnant que la seule immigration qui ait pris en Allemagne soit turque. L’Empire ottoman hier, la Turquie d’aujourd’hui ont, avec l’Allemagne, des relations anciennes et durables, teintées d’impérialisme et d’arrogance. Aux yeux des Allemands, les Turcs, n’étant pas arabes mais musulmans, ont vocation à régenter un Moyen-Orient totalement incontrôlable. Connivence et respect dominent leurs rapports.

    Les autres ? Ces Érythréens, ces Afghans, ces Irakiens, ces Africains, que font-ils là ?

    Qu’ils fuient la guerre ou la misère, ils représentent pour l’Allemand moyen la figure du vaincu, voire tout bonnement celle du pauvre bougre victime de sa paresse ou de ses lâchetés ; en tout cas, l’exemple de quelqu’un qui ne sait pas retrousser ses manches et gagner son pain.

    Autant d’images, autant de clichés peut-être, qu’il n’est jamais bon d’évoquer devant cette nation allemande traumatisée par son passé, engluée aujourd’hui dans sa mauvaise conscience.

    Cette mauvaise conscience qui tend la main à tous les damnés de la terre… pour mieux démontrer ensuite que, décidément, l’immigration a ses limites !

    Jean-Paul CharbonneauBoulevard Voltaire

  • Rennes. Qui sont réellement les acteurs de la délinquance ?

    Une majorité des actes de délinquance commis à Rennes ces derniers mois seraient-ils le fait d’individus originaires  d’Afrique du Nord? Ceux-ci ne seraient, dans la plupart des cas, jamais expulsés.

    Si l’on s’en tient simplement aux actes de délinquance commis durant trois jours, entre le 30 novembre et le 2 décembre 2016, on recenserait ainsi, pour Rennes uniquement :

    Des vols avec effraction (home-jacking) entrainant l’arrestation de trois mineurs maghrébins, tous placés en garde à vue.


    Un vol avec violence (arme) sur un homme sous curatelle, pour lequel un Maghrébin et un Tchétchène sont mis en cause.

    Trafic de drogue (vente de cannabis) rue de la Chalotais entrainant l’arrestation et la mise en garde à vue de deux Maghrébins.

    Arrestation d’un homme recherché pour une tentative de viol en réunion commis en mai 2016 à Rennes. Il s’agit d’un Algérien.

    Arrestation de deux hommes (un Algérien et un Marocain) pour agression au couteau d’un agent du conseil départemental d’Ille et Vilaine.

    Arrestation d’un Marocain pour vol de téléphone portable

    Arrestation d’un Libyen pour infraction à la loi sur les stupéfiants.

    Arrestation de deux Marocains et d’un Libyen pour le lynchage d’un patron de bar à Rennes et une tentative d’extorsion de fonds.

    Arrestation d’un Marocain pour « apologie du terrorisme » : il se disait porteur d’une ceinture explosive et criait « Allah Wakbar » dans la rue.

    Arrestation d’un Maghrébin pour recel de vol de scooter et refus d’obtempérer.

    Dans le même temps, d’autres actes de délinquance auraient également été commis par des personnes d’origine européenne :

    Arrestation de deux individus pour violences aggravées, extorsion, vol avec effraction, commis dans le premier semestre 2016.

    Interpellation d’un conducteur alcoolisé.

    Trois individus interpellés pour violences réciproques avec arme.

    Deux individus interpellés pour dégradations en état d’ivresse (au moyen d’une pelleteuse).

    Un individu interpellé pour violences volontaires en état d’ivresse sur son conjoint.

    Un individu interpellé pour conduite sous l’emprise de stupéfiants et défaut de permis et d’assurance.

    Cette question sur l’origine des délinquants avait défrayé l’actualité lors du procès d’Eric Zemmour, condamné en 2011 pour avoir déclaré à la télévision qu’il y avait une majorité de Noirs et d’Arabes dans les prisons françaises.

    Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Intérieur, avait déclaré à ce propos : « Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la sécurité publique du ministère de l’intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées étaient imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine. »

    Concernant la situation rennaise, Adrien, 35 ans, qui travaille en restauration à Rennes et qui y vit « depuis qu’il est né », nous déclare :  »  ma ville s’est profondément transformée ethniquement, années après années, et le climat de « vivre ensemble » qui y régnait depuis des années s’est dégradé, petit à petit.» Avant d’ajouter : «Ceux qui refusent de voir qu’il y a une partie de l’immigration s’installant à Rennes qui est de plus en plus agressive et dangereuse, ce sont ou bien des étudiants, idéologues de passage, ou bien des petits bourgeois qui sont dans les beaux quartiers. La réalité populaire est toute autre. Avant, il y avait une population d’origine immigrée, qui sont tous aujourd’hui Français, et parmi lesquels certains étaient des délinquants sur Rennes. Aujourd’hui, il faut y rajouter tous ceux qui arrivent chaque semaine, qui sortent d’on ne sait où, en provenance du Maghreb, d’Asie ou d’Afrique noire. Ils paradent dans la ville, et la réponse judiciaire n’est pas du tout appropriée. Pourquoi est-ce qu’on ne les expulse pas ? Après tout, ils n’ont même pas demandé la permission pour être ici, c’est fou non ? »

    Au sein de l’équipe municipale à majorité socialiste de Mme Appéré, il semblerait que l’idéologie l’emporte toutefois sur l’analyse du réel. Aucune mesure n’est vraiment mise en oeuvre pour plus de sécurité et de tranquillité . Et cela, malgré la grogne des policiers municipaux en première ligne sur le terrain, malgré la colère d’une partie du personnel municipal dans les quartiers difficiles. Un sujet sensible sur lequel nous reviendrons.

    Crédit photo : DR
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