Que de belles paroles des préfets et politiciens envers des individus qui sont entrés par effraction dans notre pays, violant ainsi les textes régissant le séjour des étrangers votés par nos représentants que ces personnes en charge du respect de la loi sont censées faire appliquer !
Il y a quelques semaines la presse locale persistait à essayer de nous faire croire à l’arrivée de familles de réfugiés syriens, photos trompeuses illustrant leurs "unes". Ces mensonges ne tiennent plus, ils sont maintenant bien obligés d’admettre que ce sont majoritairement des hommes seuls, Soudanais ou Afghans.
Il y a certes des zones de guerres ethniques et tribales dans certaines parties du Soudan, mais une grande partie du Soudan est épargnée par la guerre, on peut donc y vivre et travailler tranquillement.
PIB 2016 +.37%
Dette publique 74% donc mieux que la France !!!
http://www.coface.com/fr/Etudes-economiques-et-risque-pays/Soudan
En ce qui concerne l’Afghanistan il y a certes toujours de très gros problèmes de sécurité mais les afghans portent une lourde part de responsabilité dans cette situation sachant qu’ils ont très largement soutenu le régime Taliban avant l’intervention américaine de 2001 et qu’une très grande partie de la population continue à soutenir les tenants d’un islam extrêmement radical. Nous avons donc toutes les raisons de penser que parmi ces réfugiés, se sont infiltrés des soutiens des Talibans qui pour un temps seront des « agents dormants » des Talibans, montrant un visage bienveillant aux naïfs qui les accueillent à bras ouverts. De plus, les américains ayant décidé unilatéralement l’intervention militaire en Afghanistan, ne serait-ce pas à ce pays d’accueillir ces réfugiés anglophones ?
La très grande majorité des pays africains ont des zones de conflit sur une partie de leur territoire. Si ces conflits locaux ouvrent le droit au statut de réfugié alors nous pouvons nous attendre à voir déferler des millions d’africains sur notre continent et particulièrement en France où l’accueil est si généreux !!!
Je pose une nouvelle fois ces questions aux responsables politiques :
Que vont devenir ces migrants au bout de 2 ou 3 mois de transit dans les CAO ? La plupart de ces individus sont anglophones et peu qualifiés (on veut nous faire croire le contraire !) : comment vont-ils pouvoir s’intégrer dans un pays qui souffre déjà d’un chômage de masse avec plus de 5 millions de sans-emplois et d’une sévère crise du logement dans les grandes villes offrant quelques faibles possibilités d’emploi pour des travailleurs non qualifiés ? Je sais d’expérience qu’il faut des années pour atteindre un niveau professionnel dans une langue quand on part de zéro.
Qu’adviendra-t-il des déboutés du droit d’asile ? L’administration se refusant à exécuter les expulsions du territoire, donc à faire respecter la loi de la République sur le séjour des étrangers en France, pourtant votée par nos députés, 96% de ces déboutés restent comme « sans-papiers » et n’ont donc d’autre options que de travailler illégalement ou de rejoindre la piétaille des gangs dirigés par les caïds de la drogue.
Nos dirigeants politiques réalisent-ils les conséquences du message envoyé aux centaines de millions d’Africains qui vivent avec un revenu 10 à 50 fois inférieur à celui qu’ils obtiendraient en venant en France :
« Venez en France, vous y serez logés, nourris transportés soignés gratuitement et en prime on vous accordera 300 euros d’argent de poche que vous pourrez dépenser à votre guise sans aucun risque d’être expulsés ».
De plus certains parlent déjà de faire venir leur nombreuse famille au nom du regroupement familial :
femme(s), enfants (certains hommes polygames peuvent en avoir 20), mères, pères, sœurs, frères, cousins. Donc pour un réfugié régularisé, 10 ou 20 parents pourraient venir dans les prochaines années !
Nous ne parlons plus de 30, 60 ou 100 migrants mais d’un déferlement de dizaines de millions de migrants sur l’Europe qui ruineront nos économies et détruiront définitivement nos systèmes de protection sociale déjà lourdement déficitaires
L’immense majorité de ces migrants proviennent de pays musulmans aux valeurs diamétralement opposées aux nôtres : dans le code de la famille de ces pays, la femme reste une mineure à vie, dépendante d’un père, mari, frère ou autre mâle de la famille pour toute démarche publique. La loi religieuse prévaut toujours sur la loi laïque de l’état. Je n’émets pas de jugement de valeur : c’est leur culture, leur foi, leurs pays. J’affirme simplement que la culture musulmane pratiquée dans des pays très rigoureux comme le Soudan ou l’Afghanistan est très difficilement adaptable à celle de notre pays. Nous en constatons tous les jours les conséquences dans nos banlieues où, n’en déplaisent à nos dirigeants politiques, des zones de non-droit français, mais de vrai droit islamique (sharia) se sont constituées.
Condition de la femme musulmane