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L'Europe Poursuit en Justice les Critiques de l'Islam : Wilders reconnu coupable

 

par Giulio Meotti  •  15 décembre 2016

  • Le 9 décembre, pour la première fois dans l'histoire des Pays Bas, un tribunal a criminalisé la liberté d'expression : le très héroïque Geert Wilders, député néerlandais, a été reconnu coupable du « crime » de « discours de haine ».

  • La peine de mort prononcée contre Salman Rushdie en 1989 par le leader suprême de l'Iran a tout d'abord paru irréelle. L'Occident ne l'a pas prise au sérieux. Mais cette fatwa a fini par être assimilée et intégrée au point que les attaques contre la liberté d'expression viennent aujourd'hui de nos rangs. C'est l'Occident lui-même qui intente des procès aux écrivains et aux journalistes.

  • Les Brigades rouges, ces terroristes communistes qui ont dévasté l'Italie dans les années 1970, avaient pour slogan : « Frapper un pour en éduquer cent. » Cibler une personne permet d'intimider une collectivité. Les procès politiques sur l'islam n'ont pas d'autre but.

  • Le « discours de haine » est une arme politique pour disqualifier toute personne en désaccord avec vous. Une démocratie n'a pas à ergoter sur le contenu d'un article ou d'une caricature. En Occident, nous avons payé un prix élevé pour la liberté de lire et d'écrire. Ceux qui nous gouvernent n'ont pas à nous autoriser de penser ou de parler.

  • Le rideau de fer qui existait à l'époque soviétique descend progressivement sur l' Europe.

Gauche: l'écrivain Salman Rushdie. Droite: le député néerlandais Geert Wilders.

 

Commentaires

  • Tout aussi scandaleux,

    et dans le plus grand silence, Christine TASIN, Présidente de Résistance Républicaine , se trouve à nouveau traînée devant la 17ème Chambre à Paris :

    http://ripostelaique.com/encore-trainee-devant-la-17e-chambre-christine-tasin-sest-defendue-comme-une-lionne.html

    Pour sa défense, il est tout aussi possible de reprendre cette phrase que l'article décline à propos de Wilders :

    ..."Le « discours de haine » est une arme politique pour disqualifier toute personne en désaccord avec vous. Une démocratie n'a pas à ergoter sur le contenu d'un article ou d'une caricature. En Occident, nous avons payé un prix élevé pour la liberté de lire et d'écrire. Ceux qui nous gouvernent n'ont pas à nous autoriser de penser ou de parler.".

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