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La Bretagne n'est pas une décharge dont peut user Paris à sa convenance. La racaille doit partir. Et vite.

POSTED BY LA RÉDACTION ON 16TH FÉVRIER 2017
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BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/02/2017) La préfecture d’Ille-et-Vilaine, qui avait décidé en avril 2016 d’expulser le « rappeur » tunisien Ala Edine Yacoubi – dit « Weld El 15 », a annoncé jeudi qu’il pouvait finalement venir retirer son titre de séjour. Condamné en France et en Tunisie pour usage de stupéfiants et violences conjugales, l’intéressé est notoirement connu pour ses liens avec un djihadiste tunisien.

France 3 Bretagne (source) :

Une des égéries de la révolution tunisienne, Weld El 15, de son vrai nom Ala Edine Yacoubi, est installé depuis mars 2015 à Saint-Malo. Arrivé en France muni d’un visa « Compétences et talents », réservé aux artistes, il s’était vu notifier le 8 avril 2016 par la préfecture d’Ille-et-Vilaine un refus de titre de séjour assorti d‘une obligation de quitter le territoire.  Cet arrêté préfectoral avait été annulé en juillet 2016 par le tribunal administratif de Rennes, puis, après appel de la préfecture, par la cour administrative d’appel de Nantes. Cette dernière faisait injonction à la préfecture de délivrer à l’artiste son titre de séjour. C’est pour répondre à cette injonction que la préfecture dit avoir accepté jeudi de remettre à M. Yacoubi, 29 ans, son visa « Compétences et talents » pour une durée de trois ans.

« Compétences et talents ». Du moins tels que définis par le gouvernement socialiste français. Un rapide coup d’oeil sur la production du tunisien précité permet de rapidement se faire une opinion :

En somme, une fois la révolution tunisienne finie, la racaille de ce pays s’est empressée de se précipiter dans l’Hexagone, accueillie à bras ouvert par les élites françaises dégénérées. Le « rappeur » n’en fait pas mystère.

Le Pays Malouin (source) :

Le rap, le haschich. C’est à sa popularité, aux médias français, à la mobilisation générale qu’il doit de ne pas avoir fait ses trois années de prison, il le sait. D’abord un joint lui vaut une première condamnation, et un premier emprisonnement. Tout comme Emino qui fera huit mois en 2012. Selon la fameuse loi 52 qui date de Ben Ali, jugée trop répressive à l’égard des jeunes et que même le gouvernement tunisien a promis d’abroger. C’est en prison, que Weld el dit avoir écrit cette fameuse chanson qui met le feu aux poudres : ‘Les policiers sont des chiens’.

L’article de propagande poursuit :

Bien sûr que je peux vous parler de cette chanson. En aucun cas je n’ai insulté des personnes ; ma chanson s’adresse à mon pays, à un système que je déteste : là bas, vous êtes arrêté tout le temps, pour un rien, et souvent, ça tourne à l’agression. Là bas, tout le monde a peur des policiers, il n’y a que les rappeurs ou les avocats pour les défier.

En d’autres termes, la police tunisienne applique rigoureusement la loi contre les camés et autres asociaux, ce qui a poussé à la fuite de cette « perle culturelle » dont le gouvernement français nous impose – pour le moment – la présence.

Proche d’un rappeur tunisien devenu djihadiste de l’EI

Le « rappeur » tunisien « Emino », devenu djihadiste de l’EI

Pour ne rien gâcher, l’intéressé évoluait dans des milieux sociaux gangrenés par l’islamisme. Un autre « rappeur » tunisien très proche de Ala Edine Yacoubi, « Emino », est mort à Mossoul dans les rangs de l’État Islamique.

Yacoubi explique :

Emino, c’était mon frère. Enfin, comme mon frère. Son dernier concert, il l’a donné avec moi. Je sais que c’est pour moi qu’il l’a fait. J’ai perdu un frère.

Kapitalis (source) :

Des sources concordantes ont annoncé la mort de Marwen Douiri, alias Emino (27 ans), l’ex-rappeur bad boy qui a troqué son micro contre une kalachnikov. Il était parti, il y a deux ans, en Libye, avant de rejoindre la Syrie, puis l’Irak où il était employé dans la section média de l’organisation terroriste. Il avait aussi pour mission d’écrire et de chanter les chants jihadistes.

Les deux asociaux participaient à l’agitation en Tunisie :

Violences conjugales et dope

Pour mesurer l’apport culturel inestimable de cette racaille tunisienne, citons encore France 3 Bretagne :

Le ministère de l’Intérieur craint que la présence de M. Yacoubi ne constitue une menace pour la sûreté de l’État. Outre la condamnation du rappeur à plusieurs mois de prison avec sursis en 2015 pour usage illicite de stupéfiants et violences sur sa compagne, l’État français l’accuse d’avoir entretenu des liens d’amitié avec le rappeur Emino, parti en Syrie rejoindre l’État islamique et qui serait décédé depuis.

Usage de came, violences conjugales, djihadisme : la lie de la société maghrébine se déverse sur le territoire breton avec l’appui du gouvernement français, précipitant toujours plus bas le niveau culturel de notre pays. Cette entreprise de destruction est d’autant plus ignoble que la jeunesse bretonne continue de s’exiler, saignant à blanc notre patrie.

Notre patience atteindra ses limites. Le cas d’Ala Edine Yacoubi sera traité politiquement en temps venu. Le gouvernement de Paris n’a aucune légitimité pour imposer sur le territoire breton la présence de quelque allogène musulman que ce soit, a fortiori s’il est un compagnon de route du djihadisme, directement ou indirectement.

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