Non, nos héros bretons ne sont pas morts pour rien !
Entre 1914 et 1918 de nombreux Bretons ont sacrifié leur vie pour repousser l’invasion de leur pays, évitant ainsi à la Bretagne l’occupation et la destruction de ses traditions. Nous pouvons retrouver leurs noms sur les monuments aux morts de nos villages.
Début septembre, je me suis rendu à la Plage Bonaparte à Plouha : là encore, en 1943/44 des héros Bretons ont résisté l’envahisseur au risque de leur vie.
Aujourd’hui allons-nous accepter la submersion migratoire, une nouvelle forme d’invasion ?
Les statistiques sont implacables : 200 000 installations légales. Au moins 50 000 illégales. 300 000 naissances… Soit un total annuel de 550 000 avant le début de l'invasion migratoire. Auquel s'ajoute maintenant un flot de migrants, des dizaines et bientôt des centaines de millier. A ce rythme, d’ici quelques décennies la majorité de la population de notre pays sera musulmane…
Extrait d’un article d'Ouest France Le Carrefour des Roses... Un lieu dans l'ouest de la Belgique, à quelque 600 km de Guingamp, dédié à la mémoire des Poilus bretons tombés à l'ennemi en avril 1915. Un site où se dresse un authentique calvaire en granit du XVIe siècle, provenant de Louargat où sont installés un dolmen et des petits menhirs venus tout droit d'Hénanbihen. Des monuments typiquement bretons qui rappellent l'engagement de milliers d'hommes aux côtés des soldats belges. [i]Parmi eux notamment les soldats du 73e régiment d'infanterie territoriale de Guingamp, mais aussi les hommes du 74e régiment de Saint-Brieuc, sans oublier les troupes coloniales et les soldats canadiens. Des hommes qui se déploient dans les environs de Boezinge, non loin d'Ypres, pour renforcer l'armée belge sur l'Yser. Alors que les combats sévissent sur le front, le 22 avril 1915, vers 17 h, les Allemands décident d'ouvrir plus de 5 000 bouteilles contenant du gaz de chlore. Puis, des familles et anciens Poilus ont décidé d'élever leur propre monument juste derrière la ligne de front. Un calvaire qui, depuis le XVIe siècle était installé sur la commune de Louargat, a ainsi été transféré sur le site belge. Le dolmen et les menhirs, quant à eux, ont été remis par un agriculteur d'Hénansal qui avait survécu à l'attaque au gaz. Un don de plus de huit tonnes sur lequel est apposée une grande table d'orientation en bronze. Une table sur laquelle sont gravées la zone du front et les positions des divers régiments en place, le 22 avril 1915, date de l'attaque au gaz. Regroupés au sein de ce mémorial, le 15 septembre 1929, les monuments sont bénis par Mgr Serrand, ancien aumônier de la 87e division d'infanterie territoriale, qui a combattu sur ces terres flamandes et qui, après-guerre, a été nommé évêque de Saint-Brieuc. Un monument qui, aujourd'hui, se dresse toujours à la croisée des routes qu'empruntèrent de nombreux Poilus bretons ; toujours là, bien droit, pour rappeler le sacrifice de nos aïeux.