Corinne Erhel exclue du Parti Socialiste
Mes chers compatriotes du Trégor-Goello,
Sans vouloir polémiquer, je pense que vous auriez mieux fait de m'élire en 2012, cela vous aurait évité des déconvenues.
Claude GUILLEMAIN
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Mes chers compatriotes du Trégor-Goello,
Sans vouloir polémiquer, je pense que vous auriez mieux fait de m'élire en 2012, cela vous aurait évité des déconvenues.
Claude GUILLEMAIN
Les multiculturalistes britanniques alimentent le fondamentalisme islamique. Les musulmans n'ont pas besoin de devenir majoritaires au Royaume-Uni ; il leur suffit d'islamiser progressivement les villes les plus importantes. Le changement est déjà en cours.
L'establishment britanniques n'émet aucun frein à l'expansion de la charia. L'un des juges britanniques les plus réputés, Sir James Munby, a déclaré que le christianisme n'exerce plus aucune influence sur les tribunaux et que ces mêmes tribunaux se doivent d'être multiculturels, ce qui signifie plus islamiques. Rowan Williams, ancien archevêque de Canterbury, et Lord Phillips, juge en chef, ont également suggéré que le droit anglais « incorpore » des éléments de la charia.
Les universités britanniques se préparent l'avènement de la loi islamique. Certaines directives académiques comme celle sur les « Haut-parleurs externes dans les établissements d'enseignement supérieur », prévoient que « les groupes religieux orthodoxes » peuvent séparer les hommes et les femmes lors d'événements publics. A la Queen Mary University de Londres, les femmes ont dû utiliser une entrée séparée et ont été cantonnées dans une salle à part sans possibilité de poser des questions ou de lever la main, comme à Riyad ou Téhéran.
« Londres est plus islamique que de nombreux pays musulmans mis ensemble », a déclaré Maulana Syed Raza Rizvi, l'un des prédicateurs islamiques les plus en vue du « Londonistan », selon le terme utilisé par la journaliste Mélanie Phillips pour désigner la capitale britannique. Non, Rizvi n'a rien d'un extrémiste de droite. Wole Soyinka, lauréat du Prix Nobel de littérature, s'est montré moins généreux ; il a affirmé que le Royaume - Uni était devenu « un cloaque pour islamistes ».
« Les terroristes ne peuvent pas supporter le multiculturalisme de Londres », a déclaré Sadiq Khan, maire de Londres, après la meurtrière attaque terroriste de Westminster. Mais c'est le contraire qui est vrai : les multiculturalistes britanniques alimentent le fondamentalisme islamique. Par- dessus tout, le Londonistan, avec ses 423 nouvelles mosquées se bâtit aujourd'hui sur les tristes ruines du christianisme anglais.
La Hyatt United Church a été rachetée par la communauté égyptienne et convertie en mosquées. L'église Saint-Pierre est devenue la mosquée Madina. La mosquée de Brick Lane a été construite sur les ruines d'une ancienne église méthodiste. Ce ne sont pas seulement les bâtiments qui sont convertis, mais aussi les gens. Le nombre de convertis à l'islam a doublé ; et souvent ces convertis embrassent l' islam le plus radical, à l'instar de Khalid Masood, le terroriste qui a frappé Westminster.
Le Daily Mail a publié les photos d'une église et d'une mosquée situées l'une à côté de l'autre au cœur de Londres. L'église San Giorgio conçue pour accueillir 1.230 fidèles, n'a rassemblé que 12 fidèles pour célébrer la messe. A l'église de Santa Maria, ils n'étaient pas plus de 20.
La mosquée de Brune street connait un problème différent : la surpopulation. Elle ne peut accueillir que 100 fidèles. Le vendredi, ceux-ci occupent la rue pour prier. Les tendances actuelles montrent que le christianisme est en passe de devenir une relique en Angleterre, alors que l'islam se positionne comme la religion de demain.
A Birmingham, deuxième plus grande ville britannique où de nombreux djihadistes préparent leurs attaques, un minaret domine le ciel. Des pétitions circulent pour que les mosquées britanniques soient autorisées à appeler les fidèles à la prière islamique au moyen de haut-parleurs trois fois par jour .
Les projections statistiques prévoient que d'ici 2020, le nombre de musulmans qui se rassembleront pour la prière atteindra 683 000 au moins, alors que le nombre de chrétiens qui iront à la messe chaque semaine passera à 679 000. « Le nouveau paysage culturel des villes anglaises est arrivé, le panorama homogène d'une religion chrétienne d'Etat est en retrait », a déclaré Ceri Peach, Pr. de géographie sociale à Oxford. Alors que près de la moitié des musulmans britanniques ont moins de 25 ans, un quart des chrétiens a plus de 65 ans. « Dans 20 ans, il y aura plus de musulmans pratiquants que de chrétiens se rendant à l'église », a déclaré Keith Porteous Bois, directeur de la National Secular Société.
Depuis 2001, 500 églises de Londres de toutes confessions ont été transformées en habitations privés. Sur la même période, les mosquées britanniques ont proliféré. Entre 2012 et 2014, la proportion des Britanniques qui se disent anglicans est passée de 21% à 17%, soit une baisse de 1,7 million de personnes, alors que, selon une enquête du très sérieux NatCen Social Research Institute (NatCen Institut de recherche sociale), le nombre de musulmans a augmenté de près d'un million. La chute du nombre de chrétiens pratiquants est si rapide qu'en l'espace d'une génération, leur nombre sera trois fois inférieur à celui des musulmans pratiquants.
Au plan démographique, des villes comme Birmingham, Bradford, Derby, Dewsbury, Leeds, Leicester, Liverpool, Luton, Manchester, Sheffield, Waltham Forest et Tower Hamlets indiquent clairement que le visage de la Grande-Bretagne s'est islamisé. En 2015, une recherche sur le prénom le plus fréquemment attribué en Angleterre a révélé que toutes orthographes confondues (Muhammad, Mohammad...) Mohamed arrive en tête.
Les grandes villes anglaises abritent d'énormes populations musulmanes : Manchester (15,8%), Birmingham (21,8%) et Bradford (24.7%). A Birmingham, la police vient de démanteler une cellule terroriste ; la probabilité d'une naissance est aujourd'hui plus forte dans une famille musulmane que dans une famille chrétienne. A Bradford et Leicester, la moitié des enfants sont musulmans. Les musulmans n'ont pas besoin de devenir majoritaires au Royaume-Uni ; il leur suffit d'islamiser progressivement les villes les plus importantes. Le changement est déjà en cours. Le « Londonistan » n'est pas un cauchemar à majorité musulmane ; il a plutôt le visage d'un hybride culturel, démographique et religieux où le christianisme décline et l'islam prospère.
Le 6 Juillet 2016, des milliers de musulmans ont prié en plein air à Birmingham, en Angleterre,. (Source de l'image: Ruptly capture d'écran vidéo) |
Selon Innes Bowen du journal The Spectator, deux mosquées seulement sur les 1700 que compte la Grande-Bretagne (contre 56% aux États-Unis) suivent une interprétation moderne de l'islam. Les wahhabites contrôlent 6% des mosquées britanniques, alors que le culte deobandi propre au fondamentalisme sunnite d'Asie est dominant dans 45% des lieux de culte. Une enquête du Knowledge Center, indique qu'un tiers des musulmans du Royaume-Uni affirment ne pas faire « partie de la culture britannique. »
Londres pullule également de tribunaux de la charia. Il y en aurait officiellement 100. L'avènement de ce système judiciaire parallèle a été rendu possible grâce au British Arbitration Act (Loi sur l'arbitrage) et au système de résolution alternative des conflits (Alternative Dispute Resolution). Ces nouveaux tribunaux tiennent pour nulle et non avenue l'inviolabilité des droits de l'homme : là savoir les valeurs de liberté et d'égalité qui sont à la base de la common law anglaise.
L'establishment britanniques n'émet aucun frein à l'expansion de la charia. L'un des juges britanniques les plus réputés, Sir James Munby, a déclaré que le christianisme n'exerce plus son influence sur les tribunaux et que ceux-ci doivent désormais se doter d'une dimension multiculturaliste, autrement dit qu'ils doivent s'islamiser. Rowan Williams, ancien archevêque de Canterbury, et le juge en chef Lord Phillips, ont également suggéré que le droit anglais « incorpore » des éléments de la charia.
Les universités britanniques aussi préparent l'avènement de la loi islamique. Certaines directives académiques comme celle sur les « Hauts parleurs extérieurs dans les établissements d'enseignement supérieur » prévoient que « les groupes religieux orthodoxes » peuvent séparer les hommes et les femmes lors d'événements publics. A la Queen Mary University de Londres, les femmes ont dû utiliser une entrée séparée et ont été cantonnées dans une salle à part sans que la possibilité leur soit donnée de poser des questions ou de lever la main, comme à Riyad ou Téhéran.
L'Association islamique de la London School of Economics a donné un dîner de gala ou les hommes et les femmes étaient séparés par un rideau de sept mètres.
Après l'attaque contre le magazine satirique français Charlie Hebdo, le chef du MI6, Sir John Sawers, a recommandé l'auto-censure et « une certaine retenue » concernant toute discussion sur l'islam. L'ambassadeur britannique en Arabie Saoudite, Simon Collis, s'est converti à l'islam et a accompli le Hajj, son pèlerinage à La Mecque,. Il se fait désormais appeler Haji Collis.
Quelle sera la suite ?
Sur l’immigration de masse qui submerge le continent européen en provenance de l’Afrique et du Moyen-Orient, les grands médias français taisent la complicité des ONG liées aux puissances financières visant à l’homogénéisation de peuples déracinés. En témoigne leur silence sur la colère des autorités italiennes au sujet des organisations non-gouvernementales qui participent délibérément au transport d’êtres humains depuis les côtes d’Afrique vers l’Europe, à la suite de la publication d’un rapport de l’agence Frontex. L’agence de surveillance des frontières extérieures de l’UE établit que les équipages de bateaux d’ONG, cofinancées par le milliardaire George Soros, se comportent en véritables complices des trafiquants d’êtres humains : en prenant le relais durant la traversée maritime, ils permettent aux passeurs professionnels de diminuer leurs coûts de transport. Frontex relève que les passeurs contournent ses propres bâtiments et de ceux de la Marine italienne, se rapprochant des navires de ces ONG qui vont leur assurer le passage vers l’Italie.
Le rapport de l’agence Frontex « Analyse des risques pour 2017 » indique que « depuis juin 2016, un nombre important d’embarcations (transportant des clandestins) ont été interceptées ou secourues par des navires appartenant à des ONG sans qu’aient été lancés des appels de détresse et sans information officielle sur la localisation du secours ». Le rapport est encore plus accablant : « La présence des bâtiments des ONG près, voire à l’intérieur, des 12 miles des eaux territoriales libyennes a quasiment doublé en une année, totalisant 15 éléments (14 maritimes et un aérien). Parallèlement, le nombre total d’incidents a augmenté de façon exponentielle. »
Quelles sont ces ONG et surtout qui les finance ? Carmello Zuccaro, premier procureur de Catane, qui évoque une éventuelle complicité avec des groupes criminels, a déclaré dans un entretien avec le quotidien milanais Il Giornale, que leurs opérations en mer exigent un financement considérable : « Pour certaines d’entre elles, on évoque la somme de 400.000 euros par mois, comme pour les navires de MOAS. » Il précise : « Nous pourrions nous retourner contre ses financeurs par des enquêtes accusatoires, avec le lancement d’une procédure dans le cadre d’une inculpation criminelle, mais à ce jour (le 25 mars 2017 NDLR) nous n’avons que des suspicions et pas encore d’indices suffisants pour la justifier. » L’enquête, susceptible de mener à des saisies bancaires, « ne sera pas facile car certains de ces navires battent des pavillons d’Etats non collaboratifs ».
Ce scandale, dont l’écho a curieusement un mal fou à franchir le seuil des salles de rédaction françaises, a mis du temps à venir sur la place publique côté italien. Dès février 2016, Disobedient Media avait publié une enquête concluant que les nombreux bateaux aujourd’hui dénoncés par Frontex étaient sponsorisés par des ONG entretenant des relations financières avec des organisations de la galaxie Soros et des donateurs de la campagne présidentielle d’Hillary Clinton.
Les ONG impliquées sont Migrants offshore aid stations (MOAS), Jugend Rettet, Stichting Bootvluchteling, Médecins sans Frontières, Save the children, Proactiva Open Arms, Sea-Watch.org, Sea-Eye et Life Boat, indique Disobedientmedia.com. MOAS a été fondé par Christopher Catrambone, donateur de la campagne de Mme Clinton à hauteur de 416.000 dollars. Un des financeurs de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Or Avaaz.org a été fondé par Moveon.org, organisation propriété de George Soros. Save the Children est financé par l’Open Society de George Soros.
Or plusieurs articles ont rapporté, s’appuyant sur une étude du groupe Quilliam, que l’Etat islamique contrôle désormais le trafic des êtres humains à partir de l’Afrique du Nord et qu’il en profite pour recruter parmi les migrants. « En plus de leur action les rendant de facto complices du trafic humain, les ONG dénoncées par le rapport de Frontex sont ainsi susceptibles de contribuer activement à aggraver le terrorisme en Europe », en déduit William Craddick, analyste du site disobedientmedia.
L’enjeu statistique est dramatique. Selon l’évaluation à l’évidence sous-estimée de Frontex, le nombre d’entrées illégales en Europe par voie maritime a bondi de 780 % entre 2015 et 2016, à 132.000 ! Les entrées illégales par voie terrestre se sont élevées à 1,896 million en 2016, après 3,288 millions en 2015 et 2,972 millions en 2014. Ces dernières n’étaient « que » de 558.000 en 2013. Les cinq premières nationalités détectées par Frontex sont les syrienne, guinéenne, afghane, irakienne et marocaine.
Il convient de rappeler que Soros est considéré comme un des parrains de Macron, lui-même très favorable à l'immigrationnisme en France.