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  • Le Conseil d'Etat recommande d'autoriser les crèches de Noël dans les mairies

    Le conseil d'Etat autorise les crèches dans les bâtiments publics sous conditions.
     
     
     
     

    Installer une crèche dans une mairie ne peut être autorisé qu'à trois conditions, que cette exposition soit "temporaire", qu'elle ne s'accompagne d'aucune manifestation de "prosélytisme religieux" et enfin qu'elle revête le "caractère d'une manifestation culturelle ou au moins festive", a précisé le rapporteur public du Conseil d'Etat.

    Souhaitons que les mairies de Tregastel et Trebeurden se rangent à cet avis et invitent les migrants à la mairie.  Le Pape François, s’était directement adressé aux migrants à Assise, en citant une parole du prophète Isaïe: « Relevez la tête, le Seigneur est proche. Même si le coeur est endolori, c’est Lui la force, le Salut et l’espérance« . 

  • La jungle est un monstre où s’est désintégrée la civilisation.

    En lisant, ce soir dans l’avion, l’article du Figaro écrit par Delphine de Mallevoüe suite au viol d’une interprète d’origine afghane qui accompagnait un journaliste de France 5 dans la jungle de Calais, j’ai eu un haut-le-cœur. L’article y rappelle l’effroyable situation qui s’est désormais installée là-bas, depuis de nombreux mois. Je peine à croire que, dans notre climat de paix contrainte et factice, nous soyons parvenus à fabriquer un tel monstre, et qu’on puisse en tolérer les méfaits.

    Je dis bien fabriquer, car il n’y aurait pas de Calais sans le consentement béat de responsables qui se dédouanent sciemment de cette responsabilité. Il n’y aurait pas de Calais sans la fuite en avant d’une civilisation qui se gargarise de générosité en méprisant et piétinant ses victimes. La générosité ne violente pas, ne viole pas et n’agresse pas. Si, donc, nous avons là les fruits d’une générosité supposée, c’est surtout qu’elle est imaginaire et sans effet.

    Calais existe parce qu’il n’y a pas d’autres choix quand ceux à qui incombe la lourde charge du bien commun préfèrent se vautrer dans l’adulation de leur propre estime. Calais est le monstre que nous avons fabriqué en contemplant un veau d’or idéologique, dans son sens biblique : l’adoration d’une image qu’on se forge. Pourtant, si le migrant n’est pas par définition une menace, c’est en le sublimant au-delà des réalités de la nature humaine qu’on en méprise le risque.

    Je ne suis ni pour ni contre le migrant. Mais à l’heure où on se scandalise à juste titre des légèretés douteuses de Cyril Hanouna et de son équipe sur une femme après 35 heures de direct, à l’heure où à juste titre le moindre abus de clercs dévale en torrent les pentes de nos colonnes infernales, comment en vient-on à passer sous silence les viols d’enfants et de femmes constatés et répétés dans une jungle qui porte horriblement bien son nom ? Livrerait-on les plus fragiles de ce territoire perdu (migrants aussi, pour certains) en proie à des personnes dont la seule qualité fut d’être un immigré ? J’ai honte, si honte.

    La question ne concerne plus la xénophobie ou le rejet de l’autre. La gloire et la grandeur d’une civilisation se mesurent à la protection, coûte que coûte, du plus faible parmi nous. La jungle est un monstre où s’est désintégrée (je pèse mes mots) la civilisation. Ce n’est pas simplement un bazar désagréable, ni même un glauque bordel. C’est le théâtre de sordides et nauséeux crimes ou agressions qui peuvent surgir à tout moment sur des êtres faibles, en particulier femmes et enfants. Dans un éclair succinct de ma pensée, j’y vois ma femme, ou mes enfants, et je vomis le monstre que nous avons engendré. Je n’ai aucune solution magique, mais beaucoup de dégoût.

    Pourtant, les acteurs publics responsables de ce désastre ne pourront que détourner le regard, le visage en extase tourné vers leur générosité parfaite. Non parce que tout ceci est insoutenable (et ça l’est), mais parce que le plus dur, pour un être, est de se regarder en face.

    Ingénieur

     

  • La réalité de l'slam : le racisme anti-kouffars ! Où est l'intolérance et le racisme ?

    La jeune femme aurait été brutalisée par des cousines et menacée de mort par son père.

    C'est une jeune musulmane qui revendique le droit de vivre avec un catholique. Inacceptable pour son père, d'origine marocaine, qui l'aurait plusieurs fois menacée de mort. Tout aussi impossible pour ses cousines, qui auraient tenté de «la ramener à la raison» en la rouant de coups, jusqu'à lui faire perdre connaissance. Le tribunal correctionnel de Reims examinera jeudi la triste histoire de Nawel*, une infirmière de 23 ans. «Un drame cornélien», estime son avocat Me Simon Miravete, qui évoque une jeune femme «terrorisée» d'être confrontée à ses proches, qu'elle n'a pas vus depuis neuf mois.

    Pour échapper à cette famille avec laquelle elle «était très fusionnelle», ont raconté les cousines aux enquêteurs, Nawel a décidé de fuir Reims. Dans une lettre à ses parents, en janvier dernier, la jeune femme explique ne pas vouloir leur «faire de mal», sachant qu'ils «n'accepter(ont) jamais la situation». Elle ajoute qu'elle les aime. La famille aussi «ne veut que son bien et son bonheur»… Alors elle fait tout pour retrouver Nawel, qu'elle imagine «manipulée» par ce «Français».

    Refus du jeune homme de se convertir

    Commence un harcèlement systématique: appels téléphoniques insultants, dégradations du véhicule, de la boîte aux lettres… Le père, qui avait procuration sur le compte bancaire de sa fille, le vide. «Nous les Arabes, on se défend avec des couteaux», aurait menacé un cousin de Nawel. «Qu'ils crèvent tous les deux!» aurait lancé le père de Nawel à la mère du petit ami, d'origine portugaise.

    Deux cousines tentent une négociation avec le couple. Mais le jeune homme refuse de se convertir à la religion musulmane. «L'amour n'a rien à voir avec la religion», réplique-t-il. Pour la cousine de Nawel, il représenterait donc «l'enfer». Sans doute pour le convaincre, la jeune femme lui confie avoir accepté, elle, d'épouser un homme qu'elle n'aimait pas, «uniquement pour le bonheur de ses parents»…

    Un certificat médical établi après l'agression mentionne  «une ITT de 10 jours » et un «état de stress aigu»

    C'est alors que les cousines auraient changé de ton, selon les déclarations du couple. L'une d'elles attrape Nawel par les cheveux et lui donne «plusieurs coups de pied sur tout le corps». L'autre lui donne une gifle et des coups de poing. Devant les enquêteurs, les cousines reconnaissent tout juste une gifle, «pour la faire réagir». Un certificat médical établi après l'agression mentionne cependant «une ITT de 10 jours» et un «état de stress aigu». Avocat des deux cousines, Me Daouda Diop réserve ses arguments pour l'audience.

    Mais ce qui épouvante le plus la jeune femme, ce sont les menaces de mort, en arabe, que son père aurait proférées par téléphone lors de l'agression: «Si je te trouve, je te tuerai!» Auditionné par la police, l'homme, qui dit avoir «l'esprit très ouvert», traite Nawel de «menteuse». La plainte contre le père a été classée sans suite, au motif d'infraction insuffisamment caractérisée. Il nie toute menace mais ne veut plus voir sa fille. Sauf si elle «vient s'excuser».