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  • D’ici dix ans, serons-nous tous musulmans en raison de notre stupidité ?

    C’est ce que semble affirmer une figure importante de l’Eglise Catholique italienne, l’Archevêque Carlo Liberatia, qui a averti que tout le monde deviendrait bientôt musulman en Italie en raison de la « stupidité » du pays.

    L’Archevêque Carlo Liberati a déclaré que le nombre croissant de migrants musulmans en Europe ainsi que la progression de l’athéisme conduit à ce que l’islam devienne la principale religion du continent. « Donner l’aumône aux migrants qui végètent devant les magasins de nos villes est une erreur, c’est anti-éducatif et favorise la paresse, ils ont déjà à manger. Dans dix ans nous deviendrons musulmans à cause de notre stupidité. L’Italie et l’Europe vivent d’une manière païenne et athée, elles font des lois contre Dieu et ont des usages qui sont le propre du paganisme. Toute cette décadence morale et religieuse favorise l’islam. » a déclaré  Monseigneur Carlo Liberati, archevêque émérite de Pompéi. »

    Il a encore ajouté :

    « Nous une foi chrétienne qui faiblit. L’Eglise aujourd’hui ne travaille pas bien et les séminaires sont vides. Les paroisses sont la seule chose qui tient encore. Nous avons besoin d’une véritable vie chrétienne. Tout ceci pave la voie pour l’islam. En plus, ils ont des enfants et nous non. Nous sommes en total déclin. »

    Source

  • UN SYNDICAT DE POLICE REPROCHE AUX ASSOCIATIONS DE PRIVILÉGIER LES "CLANDESTINS" PLUTÔT QUE LES "SANS-ABRI FRANÇAIS"

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    Quelques jours après que Médecins sans Frontières a dénoncé "des violences policières" à l'égard des migrants, Unsa Police a répliqué ce vendredi dans un communiqué. Joint par LCI, le secrétaire général a dénoncé la "spécialisation" de certaines associations dans l'aide aux migrants, au détriment des "sans-abri français".

    Le syndicat n'a pas tardé à répliquer. Dans un communiqué publié ce vendredi, l'Unsa Police est revenu sur les récentes accusations de Médecins sans frontières (MSF). Samedi dernier, l'ONG avait dénoncé "la systématisation des violences policières qui ciblent les centaines de migrants parisiens en errance dans la capitale", avant d'accuser les policiers de disperser parfois les migrants à coup de gaz lacrymogènes et de leur confisquer leurs couvertures.

    Dans son communiqué, l'Unsa Police pointe du doigt l'absence de preuve et se réserve le droit de porter plainte pour "diffamation". "En droit français, accuser sans preuve s'appelle de la diffamation", peut-on ensuite lire. "Qu'ils portent plainte s'ils le souhaitent, nous on en reste aux faits", nous explique-t-on au service de presse de MSF. Et le fait est que depuis la publication de notre communiqué, on ne nous a pas signalé de nouveaux vols de couvertures".

    Mais c'est une autre partie du communiqué qui a particulièrement attiré l'attention des internautes. Dans la suite du texte, le syndicat reproche à plusieurs associations, dont MSF, d'aider les "clandestins" plutôt que les "Français". "Alors que des dizaines de Français, quels que soient leur origine, sexe ou religion, meurent chaque année de faim, de maladie ou de froid, dans l’indifférence la plus totale, l’UNSA Police s’interroge sur la propension qu’ont ces associations à défendre en priorité les clandestins…, peut-on lire dans le communiqué. Commande politique, cash assuré en termes de subventions, ou les deux ?".  

    Il n'est pas questions d'opposer une population contre une autreMédecins sans frontières

    Ces quelques lignes ont suscité de nombreuses réactions, dont certains accusent le syndicat de faire le jeu du Front national en défendant la "préférence nationale. Joint par LCI, le service de presse de Médecins sans frontières dénonce de son côté un discours "très politique" et "déconnecté de la réalité", affirmant qu'il "n'est pas questions d'opposer une population contre une autre". 

     

    Contacté par LCI, le secrétaire général de l'Unsa Police Philippe Capon affirme que le communiqué du syndicat est une "réponse volontairement polémique", mais pas "politique". "La vie d’un homme, c’est la vie d’un homme. Je ne fais pas de différence, mais certaines associations subventionnées se sont spécialisées dans la défense des clandestins", ajoute-t-il. 

     

    Invité de LCI dimanche dernier, le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux avait défendu le travail des policiers à Paris, affirmant que ce "que font aujourd'hui les forces de police, c'est de la mise à l'abri de personnes qui sont vulnérables". Le "travail" des policiers, "c'est de continuer à (le) faire, avec toute l'humanité qui est consubstantielle à (leur) responsabilité", a-t-il insisté. "C'est vrai, quelquefois, il peut y avoir une forme de contrainte à mettre à l'abri quelqu'un", avait-il tout de même reconnu.

    EN VIDÉO

  • Arzon. 4 personnes poursuivies pour avoir dénoncé une agression sexuelle ; [MAJ : appel à manifester]

    Arzon. 4 personnes poursuivies pour avoir dénoncé une agression sexuelle ; [MAJ : appel à manifester]

    arzon
     

    11/01/2017 ; 09h31 : un appel à manifester officiel a été lancé sur les réseaux sociaux, comme l’indique la page facebook ci-dessous

    11/01/2017 – 08H15 Vannes (Breizh-info.com) –  Le jeudi 19 janvier 2017, quatre personnes seront jugées par le tribunal de grande instance de Vannes, concernant les suites de l’affaire d’Arzon. En novembre 2017, alors que le gouvernement répartissait des migrants dans toute la France, l’un d’entre eux avait commis une agression sexuelle sur une sexagénaire, provoquant la colère de la population.

     

    A la suite des révélations de Breizh-info.com – des manifestants venus de toute la Bretagne s’étaient spontanément rassemblés, 24h après l’annonce de cette attaque, pour demander l’expulsion de ces immigrés africains. La manifestation, non déclarée, et entièrement improvisée (l’annonce avait été faite uniquement sur les réseaux sociaux) avait débuté dans le bourg d’Arzon avant de se diriger vers le foyer où étaient hébergés les migrants, sans que la gendarmerie – en sous effectif – ne fasse barrage pour empêcher les manifestants de se rendre sur le site.

    De facto, quelques heurts avaient eu lieu entre des manifestants en colère et des gendarmes tentant de les empêcher – par le moyen de plusieurs salves de gazs lacrymogènes – de pénétrer dans l’enceinte – où une poignée de migrants avaient été aperçus en train de narguer les manifestants, selon ce qui a été rapporté et constaté sur place – augmentant la tension.

    Deux manifestants furent alors arrêtés (puis relâchés sous la pression populaire), tandis que dans les jours qui suivirent, ils furent 5 à être convoqués en gendarmerie et placés en garde à vue. Deux d’entre eux, Nicolas Faure, responsable d’une association anti-migrants, et Ronan Le Gall, responsable du parti nationaliste breton Adsav , sont poursuivis pour organisation d’une manifestation non autorisée.

    Et cela malgré qu’ils n’aient lancé aucun appel à manifester. Ils ont en effet uniquement pris la parole lors du début du rassemblement, devant la mairie. Maître Frédéric Pichon, qui défendra Nicolas Faure et qui s’était confié dans nos colonnes, annonce un procès qui sera politique face à un procureur de la République (M. Touron) qu’il juge engagé.

    La presse internationale évoque le dossier.

    Les deux jeunes manifestants arrêtés puis relâchés seront eux poursuivis pour des violences et des dégradations qui auraient été commises durant la réunion.  Il y aura donc deux affaires bien distinctes jugées, même si les dossiers d’accusation semblent bien vides, et les preuves rassemblées inexistantes. De source policière locale – les consignes de poursuivre si rapidement et d’être intransigeants ont été données directement de Paris, les enquêteurs locaux ayant été placés devant le fait accompli. Il était question d’éviter qu’un nouveau Sisco se développe en Bretagne, après la Corse, et de frapper fort directement.

    Autour de ce procès, la solidarité s’organise, puisqu’une caisse de soutien aux 4 militants anti agression sexuelles a été lancée tandis qu’un rassemblement, devant le tribunal, est également annoncé sur les réseaux sociaux. « Nous nous rassemblerons afin de maintenir la pression » nous confie l’un des manifestants à venir. « Il est hors de question de laisser des gens risquer 6 mois de prison pour avoir voulu s’opposer à un détraqué sexuel venu, sans y avoir été invité, d’un autre continent ».

    La presse internationale évoque par ailleurs l’affaire puisque le journal suisse Lesobservateurs a évoqué le sujet, tout comme American Renaissance, ou encore Vdare, El Manifesto,

    En France, plus de 62 % des Français sont opposés à l’accueil des migrants. Malgré tout, l’opposition à l’accueil des migrants est sévèrement réprimée. Manuel Valls, qui était alors Premier ministre, avait déclaré : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux. » 

    Article compte-rendu de Breizh-Info :

    Photo : breizh-info.com
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