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migrants - Page 5

  • Comment certaines femmes peuvent-elles soutenir que l’islam est compatible avec nos valeurs ?

    Avant tout par ignorance du Coran !

    La femme y est désignée avec affirmation de la prééminence de l’homme sur elle (sourate 2, verset 228) ;

    Le témoignage de la femme vaut moitié de celui d’un homme, (sourate 2, verset 282) ;

    La femme perçoit la moitié de la part dévolue à l’homme lors d’un héritage (sourate 4, verset 12) ;

    L’homme a droit à la polygamie (sourate 4, verset 3) et à répudier sa femme (sourate 2, versets 226 à 233) ;

    « Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci… » (sourate 4, verset 38 et suivants).

    Ces sourates ont été intégrées au Code de la Famille de la plupart des pays musulmans dont l'Algérie et bien d'autres ! Elles ont donc force de loi dans ces pays mais aussi dans les pays qui ont introduit le communautarisme dans le droit civil comme la Grande-Bretagne ou le Canada où par exemple en cas de divorce, un couple musulman ne passera pas devant un tribunal civil laïque mais devant une cour religieuse présidée par un iman !

  • Migrants : Le tonneau des danaides !

    Le démantèlement de la "Jungle" de Calais débutera ce lundi matin. Un arrêté préfectoral donnera 72 heures aux occupants pour quitter le camp de migrants.

    Les premiers migrants devraient donc arriver dans le Trégor la semaine prochaine.

    Je dis bien les premiers, car seuls les naïfs peuvent croire que leur nombre sera limité à 30 par centre d'accueil alors que les centres peuvent en accueillir au moins 150 chacun !

    Des milliers de migrants continuent de déferler sur les côtes l'Italie en provenance d'Afrique ! La bataille de Mossoul (1,5 million d'habitants) va générer des dizaines de milliers de réfugiés si ce n'est des centaines de milliers. Une grande partie de cette population sunnite est délibérément restée dans l'Etat Islamique qui correspondait à leurs attentes. Les opposants ont fui depuis longtemps... ou sont morts !

    Donc parmi ces réfugiés de Mossoul, il est évident qu'il y aura beaucoup de sympathisants de l'islam le plus radical et des combattants de Daesh déguisés en civils. Ils finiront par arriver chez nous avec la rage du vaincu au cœur. La vengeance est un plat qui se mange froid dit-on...  Sans doute attendront-ils quelques mois avant de commettre des attentats, histoire d'être bien immergés dans la population française.

    L'avenir est sombre, très inquiétant. L'irresponsabilité de nos dirigeants est accablante !

    Le Collectif Citoyen du Trégor continuera son action de sensibilisation aux conséquence désastreuses de l'invasion migratoire. Malheureusement, il ne fait aucun doute que l'avenir nous donnera raison et que la France, la Bretagne et le Trégor paieront très cher cette politique migratoire irresponsable.

  • La réalité de l'slam : le racisme anti-kouffars ! Où est l'intolérance et le racisme ?

    La jeune femme aurait été brutalisée par des cousines et menacée de mort par son père.

    C'est une jeune musulmane qui revendique le droit de vivre avec un catholique. Inacceptable pour son père, d'origine marocaine, qui l'aurait plusieurs fois menacée de mort. Tout aussi impossible pour ses cousines, qui auraient tenté de «la ramener à la raison» en la rouant de coups, jusqu'à lui faire perdre connaissance. Le tribunal correctionnel de Reims examinera jeudi la triste histoire de Nawel*, une infirmière de 23 ans. «Un drame cornélien», estime son avocat Me Simon Miravete, qui évoque une jeune femme «terrorisée» d'être confrontée à ses proches, qu'elle n'a pas vus depuis neuf mois.

    Pour échapper à cette famille avec laquelle elle «était très fusionnelle», ont raconté les cousines aux enquêteurs, Nawel a décidé de fuir Reims. Dans une lettre à ses parents, en janvier dernier, la jeune femme explique ne pas vouloir leur «faire de mal», sachant qu'ils «n'accepter(ont) jamais la situation». Elle ajoute qu'elle les aime. La famille aussi «ne veut que son bien et son bonheur»… Alors elle fait tout pour retrouver Nawel, qu'elle imagine «manipulée» par ce «Français».

    Refus du jeune homme de se convertir

    Commence un harcèlement systématique: appels téléphoniques insultants, dégradations du véhicule, de la boîte aux lettres… Le père, qui avait procuration sur le compte bancaire de sa fille, le vide. «Nous les Arabes, on se défend avec des couteaux», aurait menacé un cousin de Nawel. «Qu'ils crèvent tous les deux!» aurait lancé le père de Nawel à la mère du petit ami, d'origine portugaise.

    Deux cousines tentent une négociation avec le couple. Mais le jeune homme refuse de se convertir à la religion musulmane. «L'amour n'a rien à voir avec la religion», réplique-t-il. Pour la cousine de Nawel, il représenterait donc «l'enfer». Sans doute pour le convaincre, la jeune femme lui confie avoir accepté, elle, d'épouser un homme qu'elle n'aimait pas, «uniquement pour le bonheur de ses parents»…

    Un certificat médical établi après l'agression mentionne  «une ITT de 10 jours » et un «état de stress aigu»

    C'est alors que les cousines auraient changé de ton, selon les déclarations du couple. L'une d'elles attrape Nawel par les cheveux et lui donne «plusieurs coups de pied sur tout le corps». L'autre lui donne une gifle et des coups de poing. Devant les enquêteurs, les cousines reconnaissent tout juste une gifle, «pour la faire réagir». Un certificat médical établi après l'agression mentionne cependant «une ITT de 10 jours» et un «état de stress aigu». Avocat des deux cousines, Me Daouda Diop réserve ses arguments pour l'audience.

    Mais ce qui épouvante le plus la jeune femme, ce sont les menaces de mort, en arabe, que son père aurait proférées par téléphone lors de l'agression: «Si je te trouve, je te tuerai!» Auditionné par la police, l'homme, qui dit avoir «l'esprit très ouvert», traite Nawel de «menteuse». La plainte contre le père a été classée sans suite, au motif d'infraction insuffisamment caractérisée. Il nie toute menace mais ne veut plus voir sa fille. Sauf si elle «vient s'excuser».