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migrants - Page 3

  • De plus en plus d'inquiétude outre-Rhin.

    L’année dernière, les Allemands accueillaient à bras ouverts les réfugiés : aujourd’hui, après les multiples viols, agressions et autres crimes odieux commis par certains de ces réfugiés, le vent a tourné. L’intégrations s’avère bien plus difficile qu’initialement fantasmée : hormis les crimes, des rixes opposent certaines groupes religieux ou ethniques : chiites contre sunnites, Irakiens contre Kurdes… Dans certains centres d’accueil la minorité chrétienne est persécutée par les musulmans.

    Les « migrants » viennent tout juste d’arriver dans le Trégor et nos « gens heureux » en sont encore au stade de l’enthousiasme béat… Tout comme nos « cousins germains » il y a seulement quelques mois.

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  • Excision et infibulation au Soudan et en Erythrée

    “La coutume, cette loi non écrite dont le peuple, même aux rois, impose le respect. ” Eschyle /Agamemnon

     Voici un thème d’échange culturel avec nos amis Soudanais : sachant que près de 90% des femmes sont excisées et infibulées au Soudan, il serait peut-être intéressant de leur demander ce qu’ils pensent de cette pratique que je ne qualifierais pas, par crainte de stigmatiser…

    Statistiquement, il est plus que probable que leur mère, sœur(s) ou femme(s) soient excisées puisque 9 femmes sur 10 le sont au Soudan (Unicef) .

    Sont-ils favorables à cette pratique et dans le cas contraire qu’ont-ils fait pour s’y opposer ? Hormis, bien sûr, de le des abandonner pour fuir en Europe ?

    Un lien pour ceux ou celles qui ne savent pas ce qu’est l’infibulation :

    http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie-medicale/infibulation

     

    Les chiffres de l’excision

    Selon de dernier rapport de l’UNICEF de 2013, 87,6% des femmes âgées de 15 à 49 ans sont excisées au Soudan. La pratique la plus couramment rencontrée est l’excision de type III (infibulation).

    55% des excisions réalisées au Soudan le sont par des praticien-ne-s de santé : principalement des sages-femmes pour des raisons financières, des infirmières et pour 1% environ des médecins.

    La prévalence reste très élevée : l’Enquête Démographique et de Santé du Soudan (EDS) de 1989-1990 indiquait que 89% des femmes avait subi une forme d’excision. Le rapport UNICEF de 2000 confirmait cette statistique.

    La jurisprudence

    Bien que l'excision soit théoriquement interdite au Soudan, le maintien d’un taux de prévalence élevé, notamment au Soudan, indique que les cas de violation de la loi ne seraient pas poursuivis devant les tribunaux.

    Nos autorités fermeront-elles les yeux sur cette pratique si les migrants Soudanais ou Erythréens, suite au regroupement familial, poursuivaient cette pratique sur des petites filles dans notre pays ?

    Entendrait-on un préfet dire « nous leur avons demandé de ne pas le faire mais, que voulez-vous, c’est leur coutume » comme ce fut le cas à Calais lors des incendies volontaires ?

     

  • La polygamie légalisée et personne ne nous a tenus au courant ?

    Ghazia A. ne comprend pas le tollé. Ce n’est pas de sa faute s’il a fui la guerre et si sa religion l’oblige à consacrer son temps à égalité à ses 4 femmes et ses 23 enfants. Car tout ce petit monde vivant dans un rayon de 50 kilomètres, cela le contraint à être « pratiquement toujours en route ». Cependant, sans cela, « [il] serait heureux de travailler ». Ah oui, avec 360.000 euros annuels – chiffre estimé par le Deutscher Arbeitgeber Verband – versés par le gouvernement allemand ?

    En 2015, M. A., 49 printemps, a donc fui la Syrie pour finir par s’installer, lui, sa « femme officielle », ses « partenaires » – ainsi nommées par l’administration juridique de son nouveau pays – et son abondante progéniture, en Rhénanie-Palatinat. En laissant en plan sa petite entreprise de location de voitures pourtant fort prospère…

    Côté population, c’est la stupéfaction et l’indignation. Côté politiques, rien du tout. Ils font comme si de rien n’était, ils regardent ailleurs : ils laissent l’affaire se tasser. De toute façon, un membre de l’administration locale l’affirme : M. A. est un cas « exceptionnel ». Heu… s’il parle du père de 23 enfants, il n’a pas tort, mais s’il parle du montant des allocations, « scandaleux » ne conviendrait-il pas… mieux ?

    Le Danemark, aussi, a son monsieur A. Encore plus original. En 2015, Daham Al Hasam, 47 ans, marié avec 8 enfants vivant dans ce pays depuis deux ans, a obtenu de faire venir ses deux autres femmes avec ses 12 autres enfants. Mal en point à cause de douleurs au dos et aux jambes qui l’empêchent d’apprendre la langue, devenu (quelle guigne !) malade mental à cause de l’éloignement du reste de sa tribu, alors, pensez donc, 29.000 euros par an offerts par les services danois, ce n’était pas de refus…

    Et chez nous, c’est Adama qui avait scotché tout le monde, en 2010. Un Malien de 50 ans – 4 épouses et 46 enfants – qui percevait (perçoit encore ?) 6.157 euros par mois pour nourrir 40 membres de sa smala.

    La polygamie légalisée et personne ne nous a tenus au courant ?

    Et si on parlait de la guerre que ces deux Syriens ont soi-disant fui ?

    Il y a beaucoup d’endroits en Syrie qui n’ont pas eu la guerre, tous sur la côte. Tous les Aleppins (habitants d’Alep), tous les gens du Nord se sont installés là-bas et ont continué leur vie jusqu’à ce que la paix revienne et ils retourneront dans leur ville natale (sic).

    C’est Michel, Syrien, licencié en droit, interviewé chez lui par Jacques Maisonneuve, qui s’exprime. Selon lui, tous les Syriens partis ailleurs qu’en Égypte, Liban ou Turquie le font pour des raisons économiques et « veulent y rester à vie ». Autrement dit, la guerre est un prétexte pour ces faux réfugiés syriens pour quitter leur pays et, pour les autorités de l’Occident, le prétexte pour les laisser entrer.

    Bon, mais pour en revenir à notre monsieur A., pour que, le pauvre, puisse travailler, il y aurait bien une solution : regrouper la tribu sous le même toit ! Vous n’y croyez pas ? À ce qu’il se mette au travail, moi non plus !

      B.V.