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  • Il n’existe qu’un seul « vote utile », c’est de voter pour ses idées.

    Pourquoi pour nous, dimanche, c’est Poisson

     

    Chers amis,

    Le monde bouge, après le Brexit, les électeurs américains ont choisi à la surprise générale D. Trump comme président. Cela prouve que toutes les options sont envisageables en France pour 2017.

    Nous Citoyens de Bretagne suivons avec intérêt la démarche de Jean-Frédéric POISSON  depuis quelques mois. Notre équipe n’a pas réussi au niveau national à porter l’idée d’un candidat Nous Citoyens de Bretagne à la présidentielle.

    Nous nous sommes rapprochés des Gaullistes Bretons avec succès pour définir une stratégie claire pour 2017 afin qu’elle nous serve pour mener des actions sur le terrain, élargir le mouvement et assurer la pérennité de Nous Citoyens de Bretagne.

    A partir de là, après une phase d’observation de la campagne de la Droite et du Centre, nous considérons que Jean-Frédéric POISSON est le seul candidat capable de porter notre projet citoyen.

    Nous sommes convaincus que J.F. POISSON est le meilleur candidat pour barrer la route aux partis classiques qui gouvernent la France de manière autocratique depuis 40 ans. C’est aussi le seul qui peut éviter un choix au second tour entre le tenant d’un parti classique et le candidat d’un parti extrémiste. C’est pour toutes ces raisons que le comité Nous Citoyens de Bretagne appelle à un soutien à la candidature de J.F. POISSON dimanche prochain

    Nous irons voter pour Jean-Frédéric Poisson au premier tour de la « primaire de la droite et du centre », et vous recommandons d’en faire autant, quelles que soient les consignes de partis dont vous pourriez être proches et qui intiment de ne pas participer à ce scrutin.

    Les primaires sont certes une trahison de l’esprit de la Ve République en ce qu’elles confient aux partis le soin de désigner les candidats à la présidence de la République, alors que le général De Gaulle ne leur avait concédé que le rôle de « concourir » à l’expression du suffrage (art. 4). Elles sont aussi une absurdité en ce qu’elles permettent aux électeurs du bord opposé de choisir le candidat qu’ils préfèrent affronter – ou qu’ils ont déjà choisi parce qu’il est le plus proche de leurs idées et qu’eux-mêmes n’en ont pas de meilleur !
    Mais elles existent. Cette « primaire de la droite et du centre » se tiendra et les rapports de force politiques qui en sortiront s’imposeront à tous. Faudrait-il, dès lors, s’abstenir d’y participer et rester simple spectateur ? Il est tout de même difficile de se plaindre de l’absence de démocratie et de s’abstenir pour une fois que tout un chacun peut peser sur un choix.

    Il n’existe qu’un seul « vote utile », c’est de voter pour ses idées. Surtout au premier tour. Au second tour, on élimine mais au premier, on choisit. On accomplit un acte positif. On affirme son choix de société. On défend ses valeurs essentielles.

    Comme le dit Jean-Frédéric Poisson, à destination de ceux qui trouvent toujours une bonne raison de ne pas aller voter ou de voter comme ils joueraient au billard (« Si Fillon est au second tour, il a une chance de battre Juppé », « Si c’est Sarko qui l’emporte, Marine Le Pen peut le battre », etc.) : « A force de ne pas soutenir les candidats qui pensent comme vous, vous les découragerez et vous n’aurez plus personne pour vous défendre. »

    Claude Guillemain-Charlez

    Président

    Nous Citoyens de Bretagne

  • Une immigration de peuplement !

    Serions-nous suicidaires au point d'accepter la disparition de notre culture et le repeuplement de nos villages par des migrants africains ?

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  • Migrants : le préfet d’Ile de France « se fout » de l’avis de la population et des élus locaux

    préfet

    Paris Vox – Face à la grogne croissante suscitée par la répartition de migrants clandestins dans diverses communes Franciliennes, Jean-François Carenco a un avis très tranché : il se « fout de ceux qui gueulent »(sic).


     

    Au cours d’une conférence de presse, le préfet a en effet déclaré : « Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent pour la forme. Je m’en fous . Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps ».

    Propos incroyables de mépris pour les inquiétudes et les volontés de la population comme pour la démocratie locale dont les maires sont les principaux représentants.

    Sans pudeur ni gêne aucune, le Préfet assume totalement « l’opacité » qui entoure le dossier de l’installation des migrants clandestins, affirmant  « Je ne vais pas commencer à en parler six mois à l’avance. Je préviendrai trois mois à l’avance. Après, ce sera à chaque préfet de communiquer ou pas ».

    Le représentant du gouvernement a précisé que 79 centres d’hébergement sont prévus dans toute l’Ile-de-France.  Et ce, quel que soit l’avis des élus locaux, le préfet s’affirmant  prêt à « passer outre l’avis des maires. »

    Le « plan » de Jean-François Carenco  est simple : « avancer le plus vite possible, utiliser des anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, faire installer des structures modulaires », assumant une politique totalement irresponsable du « fait accompli » en déclarant «  Si d’autres migrants arrivent, nous les prendrons. Le monde est comme ça ».

    Les propos du préfet ont au moins le mérite de la clarté. La population française est ainsi prévenue de ce qui l’attend.

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