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COLLECTIF CITOYEN DU TREGOR - Page 5

  • Côtes-d’Armor. Le département recherche familles pour mineurs isolés

    Bonjour Mesdames et Messieurs,

    Il est difficile de retenir notre colère à la suite de l’appel aux particuliers hébergeurs dans Ouest France concernant l’afflux des clandestins soi-disant mineurs déferlant sur notre splendide région naguère si tranquille et protégée. Avez-vous vu la photo illustrant l’appel d’Ouest France? Mineurs ? Vraiment ?

    Il y a quelques mois, nous avions certes reconnu que la dévotion sans limite de nos bénévoles au grand cœur était parvenue à occuper les clandestins en évitant ainsi tout incident. Dans le même temps, nous vous avions aussi averti du travail de sape que ces mêmes bénévoles n’ont cessé de faire, surtout depuis le départ de leurs petits protégés ou « nos petits choux ou petits amours » comme les surnommaient beaucoup de ces bénévoles attendries. Ayant sans doute perdu toute raison d’exister depuis le départ de leurs clandestins d’amour, elles n’ont cessé publiquement et en coulisse de faire appel aux diverses autorités et individus en charge, afin d’attirer davantage de migrants sur notre côte. Avez-vous pris la peine de lire régulièrement les commentaires incendiaires sur leur page ? Tels que « les riches de la cote vont bien devoir partager », « les touristes américains et anglais, on s’en fout », « place aux pauvres », « pourquoi ne pas réquisitionner ces grosses baraques vides en hiver pour y loger nos amis ? ». Avez-vous vu ces commentaires ? Il est clair que la cause de ces pauvres clandestins est bien moins une cause humanitaire, qu’un désir de défiance et revanche sur les nantis de la côte.

    Avez-vous pris conscience que ces clandestins ayant séjourné sur notre côte ont aussi des pages Facebook sur lesquelles ils pavoisent leur succès en France en attirant ainsi leurs potes restés derrière. Ceci tout en continuant de prêcher Allah, en postant des litanies en langage arabe, ainsi que des photos douteuses la plupart représentant petits garçons et toutes petites filles maquillées... Mais ceci est une toute autre histoire…

    Lors de nos messages précédents, nous vous avions aussi averti du risque à long-terme d’ouvrir notre région touristique aux clandestins. Que se passera-t-il cet été en la présence de ces jeunes hommes dans le besoin à tout point de vue ? Quelles seront leurs réactions a la vue de nos jeunes filles légèrement vêtues sur nos plages et terrasses de cafés ? Savez-vous ce qu’il se passe en ce moment partout dans nos villes a Paris et en province ou les femmes sont victimes de propos et gestes abusifs juste parce qu’elles osent sortir, se promener, vaquer a leurs affaire ? Vous verrez que ce phénomène atteindra notre petit paradis très vite vu cet afflux de clandestins chez nous.

    De plus, avez-vous songé à l’impact de ce fléau sur le tourisme ? En effet, pensez-vous que les burkinis sur le Coz-Pors ou Trestraou vont plaire aux touristes étrangers et français ? Ces citadins qui se trappent la présence quotidienne de ces populations rebelles et agressives n’ont aucune envie de les voir en été. Jusqu’ici, la Cote d’Armor était un des seuls refuges en France. C’est maintenant fini à cause de l’inconscience des élus nationaux et locaux, des bénévoles en mal de cause, et des medias incultes et incapables.

    Vous avez réussi. Bravo. Maintenant, nous vous mettons en demeure d’assurer la protection de nos plages et bourgades cet été, car n’ayez aucun doute qu’en cas d’agression verbale et/ou physique, nous vous tiendrons responsables.

    Reçu d'une amie du Collectif Citoyen du Tregor


    Lien vers l'article:

    http://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-brieuc-22000/cotes-d-armor-le-departement-recherche-familles-pour-mineurs-isoles-5027929/

     

  • On ne se douche pas nu !

    Publié le

     

    Un homme de 43 ans qui venait de disputer une partie de foot en salle a été violemment frappé dans les vestiaires parce qu’il prenait sa douche… nu. Vous ne le saviez peut-être pas, mais dans le sport amateur comme dans le sport pro, les islamistes imposent de plus en plus de se doucher en short.

    Olivier, 43 ans, témoigne par téléphone aux Grandes Gueules de RMC. Il a eu le nez cassé, la pommette éclatée, il a six points de suture sous l’œil. Il prenait sa douche sans aucun vêtement sur lui, faut-il le préciser ? Quatre « jeunes » l’ont apostrophé dans les vestiaires de son club de Cannes-la Bocca. « A ma sortie de cabine, alors que je me dirigeais vers ma serviette de bain et mon caleçon, l’un d’eux m’a interpellé : “Oh, t’es pas fou toi de te doucher à poil !” Je lui ai répondu que moi, je n’avais pas de problème avec ça, et qu’il n’avait qu’à regarder ailleurs. »

    Olivier est alors insulté. Il prend un énorme coup de poing dans la figure par surprise. « Sonné, je me suis accroupi au sol en mettant mes mains sur le visage, il y avait du sang partout ! » Il sera évacué par les pompiers.

    Sur le plateau de RMC, c’est la stupeur. Les Grandes Gueules peinent à l’ouvrir. On parle de « tendance », de « retour de la pudeur », on entend « C’étaient des Maghrébins ? » sans que personne réponde. Il faudra 15 minutes pour que soit prononcé le mot « islam ». Et qu’Olivier Truchot rappelle que dans son livre Racaille Football Club, Daniel Riolo raconte avec des documents très précis l’islamisation à tous les étages du football français, des centres de formation aux vestiaires de ligues 1, sans oublier les repas halal dans les équipes de France et les nouvelles mœurs comme l’obligation de se doucher en boxer-short pour ne pas être traité de « pédé ». Dans un rapport de 2015, le Service central du renseignement territorial a alerté l’Elysée sur le sport amateur « vecteur de communautarisme et de radicalisation » relevant de nombreux cas de joueurs qui se prosternent sur la pelouse avant et après le match, sur les vestiaires transformés en salles de prière.

    Si vous ne voulez plus trembler parce que vous prenez le bus en jupe, que vous embrassez votre amoureux sur un banc, que vous buvez un verre d’alcool en terrasse pendant le ramadan, que vous faites du vélo en short ou que vous vous baignez en bikini, faites comme Franck Ribéry : convertissez-vous à l’islam.

    Caroline Parmentier

  • L'Europe riposte avec des bougies et des ours en peluche

    • L'Europe n'a toujours pas compris que la terreur qui frappait ses métropoles était une guerre, et non l'erreur de quelques dérangés qui ont mal assimilé la religion musulmane.

    • Apparemment, nous ne sommes pas prêts à abandonner nos règles de comportement masochistes, qui donnent la préférence à l'ennemi plutôt qu'à notre peuple.

    • Pour l'Europe, le terrorisme islamique n'a rien de réel, il est perçu comme une interruption de routine momentanée. Nous luttons contre le réchauffement climatique, le paludisme et la faim en Afrique. Mais sommes-nous prêts à défendre notre civilisation ? Avons-nous déjà abandonné ?

    La longue et triste liste qui suit est le produit du terrorisme islamique en Europe :

    Madrid: 191. Londres: 58. Amsterdam: 1. Paris: 148. Bruxelles: 36. Copenhague: 2. Nice: 86. Stockholm:5. Berlin: 12. Manchester: 22. Manquent ici les centaines d'Européens massacrés à l'étranger, à Bali, à Sousse, à Dacca, à Jérusalem, à Sharm-el-Sheikh, à Istamboul.

    Malgré 567 victimes, l'Europe n'a toujours pas compris. Sur la seule première moitié de 2017, une attaque terroriste a eu lieu (ou a été déjouée) en moyenne tous les neuf jours en Europe. En dépit de cette offensive islamiste, l'Europe riposte avec des ours en peluche, des bougies, des fleurs, des veillées, des hashtags Twitter et des dessins.

     

    Bougies, fleurs et veillée le 23 mai 2017 à Manchester, en Angleterre, après qu'un kamikaze islamiste ait assassiné 22 spectateurs au cours d'un concert qui avait lieu la veille. (Photo de Leon Neal / Getty Images)

     

    Après le 11 septembre et ses 2 996 victimes, les États-Unis de George W. Bush avaient relevé le défi. Aux côtés de quelques courageux alliés européens, comme le Royaume-Uni, l'Italie et l'Espagne, les Etats Unis s'étaient rendus maitre de la situation. Les combattants islamistes avaient été mis la défensive ; les recrues djihadistes s'étaient raréfiées et des dizaines de cellules terroristes avaient été inactivées. Mais l'effet n'a pas duré. L'Europe s'est rapidement retranchée sur son sol, et les islamistes l'y ont suivi pour y porter la guerre : Madrid, Londres, Theo van Gogh ...

    Depuis, la situation a empiré : nous sommes passés d'une attaque tous les deux ans à une attaque tous les neuf jours. Sur les six derniers mois de 2017 : Berlin, Londres, Stockholm, Paris et Manchester.

    L'Europe n'a toujours pas compris que la terreur qui frappait ses métropoles était une guerre, et non l'erreur de quelques détraqués ayant mal assimilé la religion musulmane. Aujourd'hui, il y a plus de musulmans britanniques dans les rangs de l'Etat islamique que dans les forces armées britanniques. Selon Alexandre Mendel, auteur de La France dihadiste, l'Hexagone compte plus de salafistes violents qu'il n'y a de soldats de métier dans l'armée suédoise.

    Treize ans après l'attaque en gare de Madrid, les dirigeants européens s'en tiennent au même scénario : cacher les images de souffrance pour n'effrayer personne; dissimuler que les islamistes sont « made in Europe » ; répéter que « l'islam est une religion de paix »; brider nos libertés tout en affirmant que « nous ne changerons pas notre mode de vie » ; éradiquer les fondamentaux de notre civilisation - liberté d'expression, liberté de pensée, liberté de mouvement, liberté de religion – soit les fondement de l'Occident judéo-chrétien.

    Après le nazisme et le communisme soviétique, l'islam radical est devenu l'ennemi public numéro 1 en Europe. Mais de notre côté, nous n'avons toujours pas commencé de remettre en cause les piliers politiques ou idéologiques de cette débâcle, à savoir le multiculturalisme et l'immigration de masse. Les mesures antiterroristes de choc, les seules capables d'enrayer les menées et le moral des terroristes, n'ont pas été prises. Il aurait fallu fermer les mosquées, expulser les imams radicaux, interdire les financements étrangers des mosquées, interdire les organisations islamiques toxiques, mettre un terme à l'aide sociale des djihadistes européens, s'abstenir de flirter avec les djihadistes et empêcher le retour des personnes parties combattre à l'étranger.

    Nous traitons la guerre et le génocide comme de simples erreurs commises par nos services de renseignement.

    Nous considérons l'Islam radical comme une « maladie mentale » qui affecterait quelques personnes perturbées. Pendant ce temps, chaque semaine, deux nouvelles mosquées salafistes ouvrent leurs portes en France, et l'islam radical est prêché dans plus de 2 300 mosquées françaises. Des milliers de musulmans européens sont partis faire le djihad en Syrie et en Irak, et les fondamentalistes prennent le contrôle des mosquées et des centres islamiques. A Bruxelles, toutes les mosquées sont contrôlées par des salafistes qui endoctrinent les masses musulmanes.

    La triste vérité est que l'Europe n'a jamais eu la volonté politique de mener une guerre totale contre l'Etat islamique et les autres groupes djihadistes. Sinon, Raqqa et Mossoul auraient été neutralisés depuis longtemps. Au lieu de cela, les islamistes ont repris Molenbeek en Belgique et occupent les banlieues françaises ainsi que de vastes portions de territoire en Grande-Bretagne. Nous devrions être en train de célébrer la libération de Mossoul et le retour des chrétiens dans leurs foyers. Au lieu de cela, nous sommes en deuil de 22 personnes assassinées et 64 autres blessées par un kamikaze islamiste à Manchester et de 29 chrétiens assassinés en Egypte cette semaine.

    Des combats sérieux nécessiteraient des bombardements massifs pour éliminer autant d'islamistes que possible. Mais nous ne sommes apparemment pas prêts à abandonner nos règles masochistes qui accordent la préférence à nos ennemis plutôt qu'à notre propre peuple. L'Europe n'a jamais exigé de ses communautés musulmanes qu'elles désavouent le djihadisme et la charia. Ce silence aide les islamistes à faire taire les dissidents musulmans courageux. Pendant ce temps, les budgets militaires se réduisent, comme si l'affaire était bouclée.

    Après chaque attaque, les leaders européens ressortent les mêmes slogans creux : « continuons » ; « nous sommes plus forts » ; « la vie continue ». Le maire musulman de Londres, Sadiq Khan, affirme qu'il faut s'habituer au carnage quotidien ! A l'en croire, le risque terroriste est « partie intégrante de la vie d'une grande ville », et les grandes villes du monde entier « doivent se préparer à ce genre de choses ». Indique-t-il ainsi que nous devons nous habituer au massacre de nos propres enfants comme au Manchester Aréna ? La terreur islamique fait maintenant partie du paysage de tant de grandes villes européennes : Paris, Copenhague, Nice, Toulouse, Berlin ...

    Au lieu de se concentrer sur le djihad et l'islam radical, les leaders européens continuent de brandir la « menace russe ». Il ne faut pas négliger l'expansionnisme russe. Mais les troupes de Vladimir Poutine ont-elles attaqué Westminster ? Les agents russes se sont-ils fait exploser emportant avec eux la vie de nos enfants lors d'un concert de Manchester ? Est-ce qu'un repenti des services secrets soviétiques a assassiné des Suédois à Stockholm ? Poutine offre à nos dirigeants européens une formidable diversion.

    L'écrivain français Philippe Muray a écrit dans son livre, Chers Jihadistes :

    « Chers jihadistes ! Craignez le courroux de l'homme en bermuda. Craignez la colère du consommateur, du voyageur, du touriste, du vacancier descendant de son camping-car ! Vous nous imaginez vautrés dans des plaisirs et des loisirs qui nous ont ramollis. »

    L'Europe se conduit comme si le terrorisme islamique n'avait rien de réel, comme s'il n'était qu'une interruption momentanée de nos routines. Nous luttons contre le réchauffement climatique, le paludisme et la faim en Afrique. Mais aurions-nous oublié de défendre notre civilisation ? Ou avons-nous simplement renoncé ?