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  • Migrants: aveu d'échec de l'état français et de l'europe

    Les migrants ont commencé à partir de Calais.

    Les autorités françaises ont commencé à déplacer des milliers de personnes de la « jungle » afin de pouvoir démolir le camp de Calais qui servait de passerelle pour se rendre en Grande-Bretagne. Une importante opération de trois jours est prévue pour effacer le bidonville tentaculaire – un symbole de l’échec de l’Europe pour résoudre la crise des migrants – estimé à 6000-8000 occupants.

    Le gouvernement socialiste français a entériné son renoncement à faire appliquer les lois sur l'entrée, le séjour et l'asile alors qu'il s'agit en l'occurrence d'étrangers en situation irrégulière.

    Le drame de la Jungle de Calais n'a rien de nouveau, même s'il s'est considérablement aggravé en quatre ans. Il remonte à la fin des années 1990, lié au fonctionnement de l'espace Schengen: la France a ouvert ses frontières européennes et s'est engagée à protéger par tous les moyens celles de la Grande-Bretagne, transformant, le Calaisis en cul-de-sac, réceptacle des migrants qui ont traversé une partie de la planète dans le but de se rendre outre-Manche. L'aggravation soudaine du chaos renvoie au démantèlement de la frontière extérieure européenne, intervenu en 2015, à la suite des déclarations intempestives de plusieurs dirigeants européens, dont Mme Merkel, la chancelière allemande, et M. Junker, président de la Commission: «ouvrons leur les bras!». Le flux migratoire sans précédent historique, ne cesse de s'amplifier: après un million d'entrées en 2015, sans doute le même nombre en 2016 alors que plusieurs millions de personnes se pressent aux portes de l'Europe, dans l'impuissance d'une Union européenne qui ne parvient pas à s'organiser pour combattre les trafics criminels et se décompose alors qu'elle devrait au contraire unir ses forces.

    Le phénomène auquel nous assistons dans le Calaisis signe l'échec de l'État de droit dans la République française. Il est incompréhensible que l'État ait laissé se mettre en place une zone de non droit de cette ampleur. Pis: la solution qui consiste à évacuer de force la jungle et à répartir les migrants dans des centres d'accueil dans les régions est symptomatique du renoncement à faire appliquer les lois sur l'immigration irrégulière.

  • Une évacuation qui commence "dans le calme"

    "Jungle" de Calais

    Une évacuation qui commence "dans le calme"

    Selon la journaliste Maryline Baumard du Monde, présente à Calais et interrogée par les internautes, l'évacuation du camp se fait "dans le calme" et "la bonne humeur". "Les choses semblent se dérouler comme prévu", explique-t-elle. "'Tout se passe pour l'instant dans une atmosphère très calme, presque étrange'", abonde dans son sens Didier Degremont, volontaire du Secours catholique interrogé par Le Figaro. Mais cela pourrait vite changer.

    Effectivement, ce sont pour l'instant uniquement les migrants ayant accepté le principe de partir dans un centre d'accueil et d'orientation (CAO) en région qui ont quitté le camp. "Il y a encore beaucoup de migrants dans la 'jungle' […] lorsque [celle-ci] va se vider et que les autorités vont vouloir commencer à démonter les cabanes (...), on verra s’il y a beaucoup de récalcitrants. Ce sera donc vers la fin de semaine que l’on pourra le mesurer", selon la journaliste du Monde.

    Les mineurs isolés, eux, sont envoyés dans un "centre d’accueil provisoire (CAP), qui est constitué d’un empilement de conteneurs, pendant quinze jours ou trois semaines, le temps que les Britanniques constituent les dossiers de ces quelque 1 200 jeunes mineurs isolés pour savoir qui peut rejoindre un parent en Grande-Bretagne" [Le Monde].

    Les 6 486 migrants recensés à ce jour par les autorités françaises dans le camp doivent être répartis dans les 450 CAO [La Croix]. Des réinstallations qui ne sont pas toujours bien acceptées par les riverains, plusieurs de ces centres ayant déjà été incendiés, rapporte RFI.

    Le ministre de l'Intérieur belge a quant à lui envoyé 170 policiers en renfort à la frontière avec la France. Les autorités belges craignent l'apparition de nouveaux campements de migrants sur leur territoire, en particulier dans la zone du port de Zeebruges, qui a des liaisons régulières avec le Royaume-Uni, relève France Info.

    Quel avenir pour les migrants de Calais ?

    Dans les CAO, les migrants peuvent effectuer leur demande d'asile. Mais nombre d'entre eux préfèrent les éviter, car ils jugent que leur demande ne sera pas acceptée en France, explique L'Humanité, qui titre "L’avenir incertain des exilés de la 'jungle' de Calais".

    "De nombreuses personnes ayant obtenu le statut de réfugiés n’ont pas trouvé de logement, ni de travail et ont rejoint le bidonville. On trouve aussi ceux qui ont été déboutés de leur demande de protection et qui se retrouvent privés de tout droit. Dans les deux cas, les CAO ne seront certainement pas leur destination finale", poursuit le journal.

    La majeure partie des habitants de la "Jungle" sont "dublinés" : "c’est-à-dire des personnes qui, selon le règlement de Dublin, ne peuvent pas demander l’asile dans un autre pays de l’Union européenne que l’Italie ou la Grèce, où ils ont laissé leurs empreintes digitales en débarquant sur le continent. Eux non plus n’imaginent pas être placés dans un CAO". Un des migrants interrogé par l'Humanité explique ainsi avoir été "dubliné" en Italie, et que ses amis dans la même situation ayant accepté d'aller dans un CAO ont tous été reconduits à la frontière. C'est pourquoi il refuse catégoriquement de prendre les bus conduisant vers ces centres.

    Combien seront-ils à refuser de quitter la "Jungle" ? "Plusieurs ONG, dont l'Auberge des migrants, estiment leur nombre à 2 000 parmi les 6 300 à 8 500 migrants du bidonville" [Le Figaro]. Des chiffres "totalement infondés" selon le Ministère de l'Intérieur, pour qui "personne ne peut dire à l'heure actuelle combien de migrants refuseront de partir en région".

    "Selon les associations, des migrants reviendront ici ou essaieront de trouver des cachettes partout dans la région pour ne pas être trop loin des lieux de passage vers la Grande-Bretagne", rapporte Maryline Baumard du Monde. Une prévision partagée par la maire LR de Calais, Natacha Bouchart, interviewée par Le Point. Estimant que "la situation était devenue ingérable [et] l'évacuation était nécessaire", elle fait également part de sa plus grande crainte liée à ce démantèlement, à savoir que les migrants se réunissent dans des "squats en ville".

  • Des migrants clandestins (donc hors la loi...) médiatisés et applaudis

    Des migrants clandestins (donc hors la loi...) médiatisés et applaudis...

    Et nos "prochains ? : sdf , pauvres , familles en difficulté, jeunes sans logement et vieux sans le sou, oubliés, méprisés dans toute la France par les pouvoirs publics...

    C'est donc ça la charité chrétienne ? Cette action politicienne et idéologique pour récupérer des votes en 2017 et métisser de force la France ne m'inspire qu’écœurement et renforce ma résistance.

    Comment des chrétiens peuvent -ils suivre aveuglément et approuver les ordres du pouvoir sans être capables de déchiffrer les objectifs idéologiques et économiques de ces déplacements de clandestins ?

    Ecoutez le père Boulad :

    https://www.youtube.com/watch?v=atPttuTnyMo

     

    Enfin un prêtre qui rabroue l'épouvantable incompétence et l'irresponsabilité  des politiciens qui nous demandent de sacrifier notre identité  au nom d'une pseudo charité qui n'est rien d'autre que du pluralisme et du multiculturalisme enrobés de valeurs féminines qui consistent à plaire à tout prix à tous ces migrants qui nous envahissent .